• V incent tu viens de naître et déjà ta lumière

    I llumine nos coeurs attendris mais si fiers.

    N otre sang bat plus fort, ta vie nous rajeunit

    C 'est un nouveau printemps grâce à toi qui fleurit.

    E t quand nous partirons, voyage sans retour

    N e pleure pas surtout mais dis-toi qu'en ce jour

    T u seras devenu un homme à ton tour...


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  • P aki toi notre fille, ainsi tu vas partir

    A mour t'emporte au loin tel un joli navire

    K ant et les philosophes ont beau parler des roses

    I ls en savent bien peu sur la douceur des choses

    T oi Paki tu fais mieux que d'écrire des mots

    A Fred tu dis je t'aime et le monde est plus beau.


     

    F rédéric dans ta main elle a posé sa main

    R etiens-la tendrement tout au long du chemin

    E coute bien ce oui qu'elle n'a dit que pour toi

    D onne-lui ton amour elle t'offrira sa joie

    E t mène la très loin jusqu'au bout de la vie.

    R egarde cette rose pour toi seul qui fleurit

    I l te faudra demain, et ce comme aujourd'hui

    C haque jour lui redire ce tout petit mot : "oui"


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  • Remarque préliminaire : ce poème n'est pas de moi !! L'auteur... est une poétesse anonyme et involontaire ! Candidate à un emploi de secrétaire, elle avait subi une dictée en sténo... Elle n'avait pas réussi à tout noter, elle a donc "traduit" ce qu'elle a pu, et ça a donné ce texte... quasi surréaliste !!! Je n'ai fait qu'aller à la ligne de temps en temps !  Tout mène donc à la poésie..même une dictée ratée !...

     

    Sur le rivage des hauts océans

    La pollution des eaux et des mers

    Fait dans l'air

    Et le désert

    Pour tout ce qui perfectionne

    Le bord de la mer.

    Les hydrolithes

    Quand ils peuvent se disperser

    Lorsque la mer se retire

    Cachent des baigneurs

    Et des examinateurs

    En même temps que des visiteurs.

    La pêche est colossale

    Il est impossible de garder du poisson

    Les hamadogues ne se reproduisent plus

    Et les personnes se montrent

    D'une mer à l'autre...

    Plusieurs sont arrivées

    Des eaux cabures

    Ne pouvant ni nager ni voler

    Et prennent soin de les examiner

    Au lieu de les condamner.

    Deux cent cinquante millions d'oiseaux

    Sont à perfectionner chaque année

    De la grande hydrolithe.

    La cause de ce qui augmente

    Est enjouée d'huile.

    Les hydrolithes

    Sont tranportés par de grands navires

    Le courrier se décaste.

     


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  • Derrière un mur de briques près d'un portail rouillé

    S'élève un toit formant comme des dents de scie

    Au fond sur le ciel gris une âcre cheminée

    Vomit paisiblement il doit être midi.


    Sur le bord du trottoir des ouvriers assis

    Dans une lourde odeur de graisse et de peinture

    Dévorent en silence et de leurs doigts noircis

    Tiennent absurdement de fades nourritures


    Une petite fille poussant sa boîte en fer

    Sur des cases de craie sautille gravement

    Et veut gagner le ciel en partant de l'enfer

    On est plein d'illusions lorsque l'on est enfant.


    La sirène a hurlé, les ouvriers se lèvent

    Lentement ils s'en vont retrouver leur ferraille

    Et la petite fille quittant soudain son rêve

    En face de l'usine a rejoint la grisaille.


    Un air d'accordéon en mon coeur certains jours

    Me rappelle un instant qu'en ce terne décor

    J'ai vu partir un soir une sorte d'amour

    Qu'un songe quelquefois me fait revivre encore.


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  • Elle est venue

    Et je l'ai vue

    Je lui ai dit

    Tu es jolie

    Elle a souri

    Elle n'a rien dit

    Car l'on y croit

    A chaque fois.


    J'ai attendu

    Je l'ai revue

    J'ai pris sa main

    Le lendemain

    Elle a souri

    Elle n'a rien dit

    Car l'on y croit

    A chaque fois.


    Ils étaient longs

    Ses cheveux blonds

    Autour d'un crème

    J'ai dit je t'aime

    Elle a souri

    Elle n'a rien dit

    Car l'on y croit

    A chaque fois.


    Je l'ai serrée

    Je l'ai aimée

    Pendant un jour

    Comme pour toujours

    Elle a souri

    Elle n'a rien dit

    Car l'on y croit

    A chaque fois.


    Je me rappelle

    Qu'elle était belle

    Et que ses yeux

    Etaient si bleus

    Elle a souri

    Elle n'a rien dit

    Elle est partie

    C'est ça la vie.


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