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    Mes amis mes amours – film de Lorraine Lévy – 2008 –

    mes-amis-mes-amours

    Un film, ça ? Mais non voyons ! Pas du tout ! Juste une triste foutaise cinématographique, mièvre et sotte, à base de petites histoires de cul entremêlées ! Mais pas du cul érotique non ! Du cul plan-plan, du « sérieux », celui de la vie de famille de deux mecs qui vivent ensemble, qui sont par ailleurs divorcés (évidemment) et qui ont chacun un môme, qu’ils gardent ensemble ! C’est moderne, ça coco ! Attention, pas d’arrière-pensée. Il y a entre les deux hommes une communauté amicale, pas une communauté rectale ! Là-dessus arrivent des bonnes femmes, et immédiatement, ça fout la zoubida dans leur vie ! S’ensuivent des tonnes et des tonnes d’anecdotes idiotes, des bisbilles, des réconciliations, des emmerdes, des baisouillettes en cachette, des engueulées,  des mensonges, des rabibochages et autres interminables et dérisoires conflits à propos de cul,  qui ne donnent pas une très haute idée du bonheur ni de la nature humaine ! Tout ça assaisonné à l’eau de rose façon collection Harlequin. Du super-chiant. Il faut dire que c’est tiré d’un bouquin de Marc Lévy, on est donc aux antipodes de la littérature ! C’est de l’intrigue bas-de-gamme pour tête de gondole de supermarché. En outre, la réalisatrice est Lorraine Lévy… la petite sœur de Marc Lévy ! Ils s’y sont mis à deux, en famille, mais ce n’est pas ça qui a rehaussé le niveau ! On n’est jamais trahi que par les siens !... Mais il faut reconnaitre qu’il y a un intérêt à faire un film à partir d’un bouquin de Marc Lévy, c’est qu’on ne peut pas faire pire que le bouquin !


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    Mes amis mes amours – film de Lorraine Lévy – 2008 –

    Acteurs : Vincent Lindon - Pascal Elbé - Virginie Ledoyen -

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    Un film, ça ? Mais non voyons ! Pas du tout ! Juste une triste foutaise cinématographique, mièvre et sotte, à base de petites histoires de cul entremêlées ! Mais pas du cul érotique non ! Du cul plan-plan, du « sérieux », celui de la vie de famille de deux mecs qui vivent ensemble,  qui sont par ailleurs divorcés (évidemment) et qui ont chacun un môme, qu’ils gardent ensemble ! C’est moderne, ça coco ! Attention, pas d’arrière-pensée. Il y a entre les deux hommes une communauté amicale, pas une communauté rectale ! Là-dessus arrivent des bonnes femmes, et immédiatement, ça fout la zoubida dans leur vie ! S’ensuivent des tonnes et des tonnes d’anecdotes idiotes, des bisbilles, des réconciliations, des emmerdes, des baisouillettes en cachette, des engueulées,  des mensonges, des rabibochages et autres interminables et dérisoires conflits à propos de cul,  qui ne donnent pas une très haute idée du bonheur ni de la nature humaine ! Tout ça assaisonné à l’eau de rose façon collection Harlequin. Du super-chiant. Il faut dire que c’est tiré d’un bouquin de Marc Lévy, on est donc aux antipodes de la littérature ! C’est de l’intrigue bas-de-gamme pour tête de gondole de supermarché. En outre, la réalisatrice est Lorraine Lévy… la petite sœur de Marc Lévy ! Ils s’y sont mis à deux, en famille, mais ce n’est pas ça qui a rehaussé le niveau ! On n’est jamais trahi que par les siens !... Mais il faut reconnaitre qu’il y a un intérêt à faire un film à partir d’un bouquin de Marc Lévy, c’est qu’on ne peut pas faire pire que le bouquin !


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    Mères et filles – film de Julie Lopez-Curval – 2009 –

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    Ce film hésite entre le vague polar et la saga psycho-familiale nombriliste et dramatique. Je vous raconte un peu le thème : Audrey (Marina Hands) est une jeune fille d’une trentaine d’années, célibataire et active. Elle vient rendre visite à papa-maman, papa c’est Michel (Michel Duchaussoy), maman c’est Martine (Catherine Deneuve). Martine, médecin, et Michel son mari font vraiment vieux couple, pas mal racorni et bien ranci par les années. Michel Duchaussoy a drôlement blanchi sous le harnais, tandis que Deneuve a désormais un imposant popotin qui évoque davantage une jument qu’une miss France. Ces parents coincés accueillent leur fille sans chaleur. Pire même, entre Audrey et sa mère, c’est chien et chat. La vieille mégère n’en finit pas de rabrouer sa fille à tout propos et pour des riens. On échange davantage de silences que de paroles, et on sent bien que de lourds secrets plombent l’ambiance !  Et puis on apprend que la grand-mère, Louise, est partie il y a bien des années, et n’a plus donné signe de vie… Elle est partie, dit-on dans la famille… Audrey pose bien quelques questions, essaie d’en savoir plus. Peine perdue, sa mère se met en colère, et s’en remet à la version officielle : Louise a quitté jadis le domicile familial. Mais Audrey découvre, dans un recoin caché de la cuisine, des papiers, une sorte de journal intime, et des billets de banque anciens… Cette découverte va remettre en cause la saga  familiale. Pourquoi la grand-mère, Louise, est-elle partie sans emporter son journal et sans prendre l’argent ?.... Et si elle n’était pas partie d’elle-même ?... Voilà, ce n’est que ça : un petit mystère familial à éclaircir, c’est le seul enjeu de ce film. Pour le reste, on assiste à tout ce qui se passe chez tout le monde : on bouffe, on s’engueule, on se rabiboche, on s’emmerde, on va se coucher, la vie de famille… Pas la peine d’aller au cinéma pour voir ça, regardez chez vous et autour de vous, dans vos familles et chez vos voisins, y a tout ça sous vos yeux ! J’ai horreur de tous ces films qui vous racontent des choses banales du quotidien, les divorces, le môme à l’école, le mari au bistrot, la femme qui pleurniche, le voisin qui saute la bonne femme, le cousin qui fait la gueule, la garde des mouflets, la pension alimentaire, toutes ces scènes sans intérêt ! Tout ça est d’un chiant, mais d’un chiant !... Sans compter que, indépendamment de l’histoire de ce film, ça me déprime de voir Catherine Deneuve aujourd’hui. Elle a le même âge que moi, alors forcément, en la voyant, c’est mon propre délabrement que j’ai sous les yeux ! Ah, la cruauté du temps qui passe !... C’est pour ça que je préfère les films avec Keira Knightley ou Mélanie Thierry, où tout n’est que grâce, fraîcheur et féminité…


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    Mères et filles – film de Julie Lopez-Curval – 2009 –

    mere-et-fille-catherine-deneuve-et-0x414-1

    Ce film hésite entre le vague polar et la saga psycho-familiale nombriliste et dramatique. Je vous raconte un peu le thème : Audrey (Marina Hands) est une jeune fille d’une trentaine d’années, célibataire et active. Elle vient rendre visite à papa-maman, papa c’est Michel (Michel Duchaussoy), maman c’est Martine (Catherine Deneuve). Martine, médecin, et Michel son mari font vraiment vieux couple, pas mal racorni et bien ranci par les années. Michel Duchaussoy a drôlement blanchi sous le harnais, tandis que Deneuve a désormais un imposant popotin qui évoque davantage une jument qu’une miss France. Ces parents coincés accueillent leur fille sans chaleur. Pire même, entre Audrey et sa mère, c’est chien et chat. La vieille mégère n’en finit pas de rabrouer sa fille à tout propos et pour des riens. On échange davantage de silences que de paroles, et on sent bien que de lourds secrets plombent l’ambiance !  Et puis on apprend que la grand-mère, Louise, est partie il y a bien des années, et n’a plus donné signe de vie… Elle est partie, dit-on dans la famille… Audrey pose bien quelques questions, essaie d’en savoir plus. Peine perdue, sa mère se met en colère, et s’en remet à la version officielle : Louise a quitté jadis le domicile familial. Mais Audrey découvre, dans un recoin caché de la cuisine, des papiers, une sorte de journal intime, et des billets de banque anciens… Cette découverte va remettre en cause la saga  familiale. Pourquoi la grand-mère, Louise, est-elle partie sans emporter son journal et sans prendre l’argent ?.... Et si elle n’était pas partie d’elle-même ?... Voilà, ce n’est que ça : un petit mystère familial à éclaircir, c’est le seul enjeu de ce film. Pour le reste, on assiste à tout ce qui se passe chez tout le monde : on bouffe, on s’engueule, on se rabiboche, on s’emmerde, on va se coucher, la vie de famille… Pas la peine d’aller au cinéma pour voir ça, regardez chez vous et autour de vous, dans vos familles et chez vos voisins, y a tout ça sous vos yeux ! J’ai horreur de tous ces films qui vous racontent des choses banales du quotidien, les divorces, le môme à l’école, le mari au bistrot, la femme qui pleurniche, le voisin qui saute la bonne femme, le cousin qui fait la gueule, la garde des mouflets, la pension alimentaire, toutes ces scènes sans intérêt ! Tout ça est d’un chiant, mais d’un chiant !... Sans compter que, indépendamment de l’histoire de ce film, ça me déprime de voir Catherine Deneuve aujourd’hui. Elle a le même âge que moi, alors forcément, en la voyant, c’est mon propre délabrement que j’ai sous les yeux ! Ah, la cruauté du temps qui passe !... C’est pour ça que je préfère les films avec Keira Knightley ou Mélanie Thierry, où tout n’est que grâce, fraîcheur et féminité…


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    Reviens-moi – film de Joe Wright – 2008 -

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    Ce film a tout de la fresque romantique et  sentimentale, assaisonnée avec une bonne pincée de drame passionnel… L’histoire se déroule en Grande-Bretagne, à l’époque des Années folles. Vie insouciante bien sûr, du moins pour les nantis, les seuls qui intéressent le peuple, puisque la richesse des pauvres c’est surtout de rêver, et de manger sa sardine à l’huile en contemplant la vie des riches et le caviar dans leurs assiettes ! Vous allez donc rêver !... Voici l’histoire : dans un immense et austère château de l’ère victorienne, vit une riche famille, les Tallis. Et dans la famille Tallis, il y a deux filles : la petite Briony,  13 ans et toutes ses dents, et la grande, Cecilia (rien à voir avec Sarko, arrêtez de fantasmer ! D’abord c’est Carla, maintenant, en attendant la prochaine !)… Or donc, la petite Briony, dont la valeur n’attend pas le nombre des années, a écrit une pièce de théâtre, et sera plus tard écrivain. Sa grande sœur, Cécilia est interprétée par la délicieuse Keira Knightley… Vous voyez qui c’est ? Non ? Alors imaginez : exactement le contraire de Josiane Balasko et de Mireille Mathieu. Autrement dit, Keira Knightley c’est la beauté et l’intelligence… Et ladite Cécilia, chose banale et fréquente, se laisse aller à une folle étreinte avec le beau Robbie, le fils d’un des domestiques de la vénérable demeure. Et ils font ça debout, contre les rayonnages d’une belle bibliothèque en merisier massif garnie de beaux livres reliés plein cuir, j’ai même eu le temps de voir ça pendant cette séquence-cul. Faut reconnaître que ça a une autre gueule que de faire ça dans le local à poubelles de la ZUP d’Argenteuil !... Seulement voilà, la petite Briony les surprend, et elle n’est pas contente du tout, la petite Briony. Car malgré ses  13 ans et la forte menace pénale qui plane de nos jours sur les emballements du cœur en direction des mineures, elle était amoureuse de Robbie !!! Ah la petite peste ! Elle l’avait même dragué et il n’avait pas répondu aux avances éhontées de la gamine ! Et du coup, alors qu’une autre fille est opportunément violée dans le parc du château… elle accuse formellement Robbie de cette pénétration sans laissez-passer ! Pas de chance pour lui, il devait être né sous une mauvaise étoile ! Je vous demande une minute d’attention, suivez bien : s’il avait accepté les propositions de la petite Briony, il se serait pris dix ans de taule pour pédophilie ! Mais comme il n’a pas cédé à la petite sirène, il va ramasser dix ans de taule  quand même, pour un viol non commis ! Je vous le dis, il y en a certains, ils auraient mieux fait de ne pas naître !... Et quand enfin Robbie sort de prison, c’est la seconde guerre mondiale qui commence, pas de chance décidément ! Poursuivi par la mouise, ca pauvre Robbie ! Mais une question angoissante demeure : Robbie va-t-il retrouver Cécilia ? Va-t-il pouvoir enfin terminer ce qu’il a commencé dix ans plus tôt avec elle dans un coin de bibliothèque,  au moment où ils ont été interrompus en pleine action ? Palpitant, non ???... Pour le savoir, regardez Reviens-moi, ne serait-ce que parce que Keira Knightley enchante ce film par sa seule présence, évidemment ! Sauf que dans cette histoire dramatique, elle  n’a guère l’occasion de nous offrir cet extraordinaire sourire mutin, pétillant d’intelligence, qui fait son charme ! Hélas, donc, pas de sourire de Keira Knightley dans ce film, tant pis. Mais bon, on ne peut pas rigoler tous les jours, même au cinéma !...


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