•  

    Adieu Berthe, film hyper-chiant  de Bruno Podalydès – 2012 -

    Acteurs : Valérie LemercierDenis PodalydèsIsabelle Candelier

    Rien que le titre, Adieu Berthe, ça fait déjà très con. On se dit que ça ne va pas pisser très haut !... Je confirme, c’est nul et chiant de bout en bout. L’histoire est simple : il s’agit tout simplement de l’enterrement de Mémé, laquelle s’appelait Berthe, vous l’avez compris. Bien entendu, toutes sortes d’incidents vont se produire, sans quoi l’enterrement de Berthe aurait été expédié vite fait comme pour n’importe quelle grand-mère, l’essentiel n’étant pas la cérémonie, mais le vidage du livret A de la vieille et la récup de sa bicoque misérable que l’on revendra un max pour faire de la thune ! Merci Mémé !… On entre alors dans un travail lourd, besogneux de cinéma mal conçu et mal réalisé, dans lequel on retrouve tous les poncifs habituels : philosophie bas de gamme, anecdotes imbéciles, humour nullard, petits moments de nostalgie à deux balles… En un mot, je me suis emmerdé pendant une heure et demie devant mon écran… Mais comme je suis sincère, je dois vous dire que mon opinion sur ce film est assez marginale, car toute la presse a aligné les superlatifs les plus délirants  pour tresser des lauriers à ce film… Je ne comprends pas ces louanges, mais c’est comme ça… Mais tous ces avis positifs ne changent rien à mon opinion : Adieu Berthe est un film désespérément vide, nul, emmerdant, qui ne décolle jamais d’un populisme de bas étage. Je dis adieu résolument à Adieu Berthe !


    votre commentaire
  •  

    Adieu Berthe, film hyper-chiant  de Bruno Podalydès – 2012 -

    Acteurs : Valérie LemercierDenis PodalydèsIsabelle Candelier

    Rien que le titre, Adieu Berthe, ça fait déjà très con. On se dit que ça ne va pas pisser très haut !... Je confirme, c’est nul et chiant de bout en bout. L’histoire est simple : il s’agit tout simplement de l’enterrement de Mémé, laquelle s’appelait Berthe, vous l’avez compris. Bien entendu, toutes sortes d’incidents vont se produire, sans quoi l’enterrement de Berthe aurait été expédié vite fait comme pour n’importe quelle grand-mère, l’essentiel n’étant pas la cérémonie, mais le vidage du livret A de la vieille et la récup de sa bicoque misérable que l’on revendra un max pour faire de la thune ! Merci Mémé !… On entre alors dans un travail lourd, besogneux de cinéma mal conçu et mal réalisé, dans lequel on retrouve tous les poncifs habituels : philosophie bas de gamme, anecdotes imbéciles, humour nullard, petits moments de nostalgie à deux balles… En un mot, je me suis emmerdé pendant une heure et demie devant mon écran… Mais comme je suis sincère, je dois vous dire que mon opinion sur ce film est assez marginale, car toute la presse a aligné les superlatifs les plus délirants  pour tresser des lauriers à ce film… Je ne comprends pas ces louanges, mais c’est comme ça… Mais tous ces avis positifs ne changent rien à mon opinion : Adieu Berthe est un film désespérément vide, nul, emmerdant, qui ne décolle jamais d’un populisme de bas étage. Je dis adieu résolument à Adieu Berthe !


    1 commentaire
  •  

    Maman, film d’Alexandra Leclère -

    Acteurs : Josiane BalaskoMathilde SeignerMarina Foïs

    maman-2

    Maman est un film curieux qui nous raconte l’histoire de deux sœurs (Mathilde Seigner et Marina Foïs) que leur mère a délaissées pendant de longues années. Pourquoi leur mère ne les a pas aimées ? Les deux sœurs, pour tenter de percer ce mystère en forme  d’anomalie sociale,  séquestrent leur mère, et veulent l’obliger à avouer les raisons du désamour qu’elle a toujours manifesté vis-à-vis de ses filles… Josiane Balasko, moche à souhait, encore pire que dans d’autres films, joue à merveille une mère égoïste, mauvaise et agressive. Mais l’histoire est peu crédible : cet enlèvement d’une mère n’a rien de vraisemblable. Quant aux deux filles, on peut comprendre la mère, car ce n’est pas évident de supporter Mathilde Seigner. Je lui trouve depuis toujours un air peu intelligent. Grande gueule et bête, jouant toujours les femmes libérées tout en se montrant par ailleurs une esclave de la clope ! Curieuse liberté qui se manifeste par une addiction ! En outre, le film est condamné d’avance : qu’espérer de cette confrontation familiale ? En quoi une femme devrait-elle forcément aimer ses enfants ? En quoi une mère aimante est-elle méritante ? Elle est aimante naturellement, sans le faire exprès, sans se forcer, pas de quoi s’extasier… En revanche, pourquoi condamner la mère qui n’aime pas ses enfants ? Elle ne le fait pas exprès non plus, de ne pas aimer sa progéniture… L’amour, même maternel, ça ne se commande pas, il y a l’instinct comme la chatte qui veille, farouche, sur ses petits, et puis il y a la chatte qui les abandonne ! Mais aucune n’est méritante ni coupable, chacune fait seulement ce qu’elle a envie de faire… Le film ne traite nullement ces questions ontologiques, il en reste au niveau d’un tragi-comique très superficiel, dont la fin est pitoyable de banalité attendue… Et puis, le regard désespérément vide de Mathilde Seigner, franchement ça fait peur… C’est le néant absolu, le coma dépassé quand elle tire béatement sur sa clope !...  Ça me gâche le film ! Je préfère de loin Sara Forestier, Mélanie Thierry ou Keira Knightley, des actrices dont les yeux pétillent d’intelligence et dont le visage mutin exprime les mille nuances de la féminité, de la grâce et de la beauté !... Comme on dit : chacun ses goûts !


    votre commentaire
  •  

    Maman, film d’Alexandra Leclère -

    Acteurs : Josiane BalaskoMathilde SeignerMarina Foïs

     

    maman-2

    Maman est un film curieux qui nous raconte l’histoire de deux sœurs (Mathilde Seigner et Marina Foïs) que leur mère a délaissées pendant de longues années. Pourquoi leur mère ne les a pas aimées ? Les deux sœurs, pour tenter de percer ce mystère en forme  d’anomalie sociale,  séquestrent leur mère, et veulent l’obliger à avouer les raisons du désamour qu’elle a toujours manifesté vis-à-vis de ses filles… Josiane Balasko, moche à souhait, encore pire que dans d’autres films, joue à merveille une mère égoïste, mauvaise et agressive. Mais l’histoire est peu crédible : cet enlèvement d’une mère n’a rien de vraisemblable. Quant aux deux filles, on peut comprendre la mère, car ce n’est pas évident de supporter Mathilde Seigner. Je lui trouve depuis toujours un air peu intelligent. Grande gueule et bête, jouant toujours les femmes libérées tout en se montrant par ailleurs une esclave de la clope ! Curieuse liberté qui se manifeste par une addiction ! En outre, le film est condamné d’avance : qu’espérer de cette confrontation familiale ? En quoi une femme devrait-elle forcément aimer ses enfants ? En quoi une mère aimante est-elle méritante ? Elle est aimante naturellement, sans le faire exprès, sans se forcer, pas de quoi s’extasier… En revanche, pourquoi condamner la mère qui n’aime pas ses enfants ? Elle ne le fait pas exprès non plus, de ne pas aimer sa progéniture… L’amour, même maternel, ça ne se commande pas, il y a l’instinct comme la chatte qui veille, farouche, sur ses petits, et puis il y a la chatte qui les abandonne ! Mais aucune n’est méritante ni coupable, chacune fait seulement ce qu’elle a envie de faire… Le film ne traite nullement ces questions ontologiques, il en reste au niveau d’un tragi-comique très superficiel, dont la fin est pitoyable de banalité attendue… Et puis, le regard désespérément vide de Mathilde Seigner, franchement ça fait peur… C’est le néant absolu, le coma dépassé quand elle tire béatement sur sa clope !...  Ça me gâche le film ! Je préfère de loin Sara Forestier, Mélanie Thierry ou Keira Knightley, des actrices dont les yeux pétillent d’intelligence et dont le visage mutin exprime les mille nuances de la féminité, de la grâce et de la beauté !... Comme on dit : chacun ses goûts !


    votre commentaire
  •  

    A perdre la raison – film con avec promotion de la clope, de Joachim Lafosse – 2012 -

    Acteurs : Niels ArestrupTahar RahimEmilie Dequenne plus

     

    Merde à ce film et au soutien honteux qu’il apporte à la clope ! Tenez-vous bien, on y voit à maintes reprises un médecin qui fume… en présence de ses petits-enfants ! Ça un médecin ? Un con, oui,  un salopard qui nuit à la santé d’enfants, indigne donc de sa profession ! Jamais entendu parler du tabagisme passif, ce médecin-couillon ?... Merde aussi à Joachim Lafosse, le réalisateur, pour sa complaisance tabagique ! Pour le reste, ce film très con nous raconte une histoire pénible et chiante : une mère qui ne cesse de pondre môme sur môme, sombre dans une déprime telle, qu’elle finira par tuer ses enfants ! Il est vrai que le climat familial est oppressant, avec le beau-père médecin qui vit sous le même toit… Mais est-ce une raison pour pondre chiard sur chiard, sans débander (c’est le cas de le dire !) ?… A croire que les deux parents crétins de ce film n’ont jamais entendu parler de préservatif, de pilule ! Comme si la pénétration vaginale était une véritable fatalité, la voie incontournable vers le plaisir ! Bref, un concentré d’idées reçues, de conformisme sexuel idiot, une histoire pénible, avec plein de gens qui fument sans la moindre nécessité, et devant les enfants, répétons-le !  A perdre la raison, un film à éviter et même à boycotter pour sa promotion scandaleuse du cancer du poumon ! Et merde au réalisateur qu’on devrait poursuivre en justice comme on le fait pour Servier… Plus coupable encore, car Servier, lui, soigne et guérit dans de nombreux cas… La clope, jamais !


    votre commentaire