• Film allemand réalisé par Hans Horn, Dérive mortelle est sorti en juin 2007. Son genre oscille entre le drame, l'horreur et l'épouvante. Et ce que j'aime, c'est que l'histoire est ici parfaitement vraisemblable, ce qui ajoute encore à l'horreur de la situation. En outre, pas d'effets spéciaux, pas d'hectolitres d'hémoglobine ni de monstres en carton-pâte... rien que des éléments naturels : le soleil, le ciel, l'eau... et pourtant, on a peur.... Le scénario est très simple, et le début du film est parfaitement banal : d'anciens copains de lycée se retrouvent au bord de la mer : trois couples et un bébé. Un des copains possède un yacht, et invite les autres à une virée en mer... Enthousiasme de tous, sauf une femme, dont on lit la peur dans le regard : elle a été traumatisée dans son enfance, et les images-flashs nous font comprendre que, petite fille, elle a vu son père se noyer en mer, tout près d'elle, et s'est retrouvée seule au milieu des vagues... Surmontant son appréhension, elle  accepte cependant la balade en bateau, et tous les autres se moquent d'elle parce qu'elle enfile un gilet de sauvetage qu'elle refuse de quitter... Il fait beau, le soleil brille et sous le ciel tout bleu les amis font la fête : on danse, on rit, on boit du champagne, le yacht est bientôt en pleine mer... Quatre des amis décident de piquer une tête dans l'eau... Il reste sur le yacht un homme et une femme, celle justement qui a peur de la mer... L'ami qui est avec elle, ignorant sa phobie, lui propose de plonger à son tour... Elle refuse... Il insiste... Elle refuse encore... Alors il la prend dans ses bras tandis qu'elle hurle et se débat, et ils plongent tous deux dans l'océan... Elle, sous l'effet de la terreur, perd connaissance... Les amis sont consternés par cet incident, la fête est un peu gâchée et tous décident de remonter sur le bateau... C'est alors qu'ils s'aperçoivent... qu'ils ont oublié de déployer l'échelle !... Impossible de remonter à bord, la coque est trop haute... Une terrible angoisse commence... La journée passe... l'eau semble de plus en plus froide... les muscles se tétanisent... les vagues se font plus grosses... Les esprits paniquent... La balade se transforme en un cauchemar. Là-haut, sur le yacht, il reste un bébé, seul, qu'on entend pleurer... Je n'en dirai pas davantage, pas question de dévoiler la fin de ce drame... Pour ma part, j'ai aimé la peur et l'angoisse qu'on éprouve à fleur de peau devant les images... Je me cramponnais à mon fauteuil pour ne pas sombrer à mon tour dans les profondeurs de l'océan... La peur est d'autant plus présente qu'elle est vraisemblable : le "monstre" ici, c'est l'océan, immense et profond, liquide et patient... Terrifiant ! Excellent ! En tout cas, si un jour vous achetez un bateau et si vous décidez de plonger... n'oubliez pas de descendre l'échelle ! Ou contentez-vous d'une petite barque sur le lac du Bois de Vincennes...

    Bio du ralisateur : Hans Horn est Allemand. Né le 11 juin 1968 en Bavière, il réalise plusieurs films alors qu'il est encore lycéen. Il entre ensuite à l'école de cinéma de Münich, puis  se lance dans le court-métrage et dans le tournage de films de science-fiction. Il tourne en 2002 le spot publicitaire pour la marque Smart, puis divers films d'horreur (They, Boogey Man) et un thriller : Transit. Enfin, en 2007, c'est la sortie de Dérive mortelle !


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  • C'est en avril 2001 qu'est sorti sur les écrans ce beau film de Jean-François Richet. Beau n'est pas exactement le mot qui convient, s'agissant d'une sorte de drame social très sombre. Mais beau film car c'est là du bon cinéma, sans les poncifs traditionnels, sans le clivage grossier entre les bons et les méchants... De quoi ça cause ? me direz vous ! Vous avez raison : allons au fait, cessons de baver !...
    Mais disons d'abord que l'héroïne du film est Virginie Ledoyen (dans le rôle de Maria), et qu'on trouve aussi au générique Jean-Marc Thibault (
    le père de Maria), ainsi que Stomy Bugsy, Jean-François Stévenin.

    L'histoire se déroule sur fond de banlieue populaire. Pas de racaille pourtant ici, mais des gens très simples, le monde ouvrier. Maria est une jeune fille de vingt ans. Embauchée dans une usine comme manutentionnaire, elle en a assez au bout d'une journée et envisage de démissionner : l'usine c'est pas son truc. Elle a un amoureux, Karim, qui ne sait pas lui dire qu'il l'aime, et une meilleure amie... Ensemble elles se baladent. Une vie simple comme tant d'autres. Un jour pourtant, Maria commet une petite bêtise : elle vole de la lingerie dans une grande surface, et donc l'histoire se déroule non seulement sur fond de banlieue mais également sur fond de culotte ! (C'est terrible : je ne peux pas m'empêcher  ce genre d'humour, ne m'en veuillez pas !...) Ce menu larcin, presque banal, fait tout basculer dans un terrible enchaînement : l'arrestation, la mise en garde à vue dans un commissariat de banlieue : on y trouve un inspecteur intègre et humain (il y en a dans la police) et deux flics très cons (il y en a aussi dans la police )... Pour Maria (Virginie Ledoyen), les choses vont très mal se passer, un policier abusera d'elle... Cela aurait pu donner lieu à des scènes voyeuristes et complaisantes, ou bien à des "leçons de morale" bien assénées par un réalisateur pontifiant ! Heureusement il n'en est rien, et la caméra ne caricature pas, ne moralise pas, ne juge pas... Elle montre une réalité, elle pose un regard presque journalistique sur un monde sombre, où sévissent la violence et la brutalité comme des choses quotidiennes, presque naturelles... Les dialogues sont simples et vrais, le film se déroule selon une logique tristement implacable, comme un fatalisme effrayant, avec cependant une fin qui prend le spectateur à contre-pied car elle ne conclut pas. Suprême élégance du réalisateur qui ne nous impose pas son point de vue... On reste donc sur un certain malaise, on attendait un point final ou un poing dans la gueule, et puis rien,  les personnages disparaissent de l'écran, et on se dit  : "ah bon, ça finit comme ça...?" Que devient Maria ?... Que devient son agresseur ?... Comme disent les journalistes : "On se perd en conjectures." Mais on a une piste, tout de même : Karim, l'amoureux taciturne, finira par dire "je t'aime" ! Une sorte de happy end, en forme d'amour, ne fût-ce que pour justifier le titre du film. Quoi qu'il en soit, je vous livre ma conclusion, toute personnelle : ce film dérange, et c'est tant mieux...

    Biographie : Le réalisateur, Jean-François Richet, est né le 22 juillet 1966. Il a grandi dans des HLM de Meaux, et travailla comme ouvrier en usine. Le monde de la banlieue lui est donc familier, et c'est là qu'il puisera la source sociale de ses réalisations. En 1995, il réalise "Etat des lieux", un film sur les banlieues... En 2008, il réalise Mesrine ennemi public n°1 et Mesrine l'instinct de mort...


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  • Avec Ô Verlaine, Jean Teulé exploite un filon juteux, celui des biographies romancées  A croire que les lecteurs ne supportent pas de lire une vraie biographie, celle qui raconte simplement une existence, dans sa diversité, sa richesse, sa vérité, sa banalité aussi parfois... Non, il leur faut du piquant, du romanesque, de l'extraordinaire, du sensationnel, et bien sûr, du cul ! Jean Teulé s'emploie donc à satisfaire  cette tendance voyeuriste qui remplace la curiosité intellectuelle ; ça donne ce bouquin qui prétend nous faire connaître Verlaine, le grand poète, mais qui ne nous montre, en fait, que les toutes dernières années de la déchéance physique, de la dépravation alcoolique et morale d'un homme. La poésie occupe une place bien restreinte dans ce livre... On y trouve un Verlaine cumulant une syphilis, une cirrhose avancée, une sévère atteinte pulmonaire, un alcoolisme invétéré, une propension à la violence physique envers les personnes, le tout assaisonné d'une bonne dose de dépravation morale... On est loin de la délicatesse romantique.  Le style du livre est fade, on lit par exemple des dialogues aussi plats que celui-ci :

    "- Il a écrit ça quand ?

    - Ce matin, pour moi...

    - Pour vous ?...

    L'éditeur consulta l'éphéméride près de la caisse :

    - C'est curieux parce que ce n'est pas votre fête aujourd'hui. C'est la Sainte-Philomène.

    - Quoi ?

    - Ce poème est écrit pour elle.

    - Hein ?

    - Alors vous comprendrez que je ne peux pas vous le payer...

    - Ah, le fumier !"

    Bien entendu, on trouve aussi, de ci de là, quelques anecdotes culières, indispensables dans ce genre de prose.  Exemple :

    "C'était aussi un vieux faune lubrique et hystérique. En proie à une soudaine exaltation voisine de la démence, il tomba à genoux aux pieds d'Esther, enfouit sa tête sous le jupon, chercha la chair où s'activa sa bouche délirante."  Ou encore ce poème d'une haute tenue littéraire :

    "Je suis foutu. Tu m'as vaincu.

    Je n'aime plus que ton beau cul

    Tant baisé, léché, reniflé,

    Et ton cher con tant piné."

    Je vous laisse savourer toute la délicatesse poétique de ce tendre quatrain qui fleure bon le périnée !!...

    Bref, on apprend fort peu de choses sur l'oeuvre de Verlaine, on voit surtout un type déglingué, dont le corps se pourrit, et dont l'esprit s'en va dans l'absinthe. Qui plus est, Teulé insiste lourdement sur la scandaleuse impunité dont aurait bénéficié Verlaine, le préfet Lépine, grand amateur de poésie, veillant à laisser Verlaine commettre moult exactions.. au motif qu'il est un grand poète ! Je trouve ça assez scandaleux, pour ma part.   On peut être un grand poète et une petite ordure, et la beauté des textes ne saurait être un permis de tuer impunément !... Un conseil, si vous voulez goûter Verlaine, lisez un de ses recueils de poésie, et pour sa biographie, allez sur internet et fouillez dans Google, ça vaut mieux que de fouiller dans les petites culottes de l'Histoire à travers le bouquin insipide de Jean Teulé, qui n'est qu'un ramassis d'anecdotes racoleuses  sans le moindre intérêt. Ô Verlaine, c'est de la poésie à la sauce people, façon Voici, c'est dire le niveau  ! D'ailleurs, il y a une chose qui ne trompe pas : au dos du bouquin que je viens de terminer, on peut lire :"Ce livre vous est offert par votre libraire et ne peut être vendu" !!! ça veut tout dire !... N'empêche : même gratuit, c'est encore trop cher !!!...

    Bio : Jean Teulé est un romancier français, né à Saint-Lô  le 2 juillet 1953. D'abord auteur de bandes dessinées, il se tourne ensuite vers la télévision (Nulle part ailleurs, sur Canal+) avant de se lancer également dans le cinéma où il est scénariste mais aussi parfois acteur. Mais il est plus connu comme romancier, et produit des oeuvres à prétention historique :

    Rainbow pour Rimbaud

    Je, François Villon

    Le Montespan

    Bon à tout, Jean Teulé  est le compagnon de l'actrice Miou-Miou. Pas de qui en faire tout un cinéma.

     


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  • C'est en novembre 2008 qu'est sorti sur les écrans "The Duchess", réalisé par Saul Dibb, avec  dans les rôles principaux Keira Knightley, Ralf Iennes, Charlotte Rampling... L'histoire se passe à la fin du 18è siècle, en 1774, en Angleterre. Keira Knightley joue le rôle de Georgiana, une délicieuse jeune fille pétillante d'esprit, belle et vive, que l'on marie avec le Duc de Devonshire... La voici donc Duchesse, célèbre, et adulée par toute la population... Des enfants naissent, mais  ce ne sont que des filles, pas de garçon, ce qui met le duc en colère, et l'amène à avoir une liaison avec Bess, la meilleure amie de Georgiana... En fait beaucoup de choses opposent la duchesse et son mari : elle est vive et sensible aux émotions, tandis que lui n'exprime jamais les siennes... Mais l'originalité du film, tiré d'événements réels, tient au parcours, novateur pour son époque, de la duchesse  : on est loin de l'image d'une femme soumise et passive qu'on imagine alors... Véritable pionnière en son temps, elle utilise sa célébrité à des fins politiques, ou pour faire avancer la condition des femmes... Ses relations, sa vie sociale, font qu'elle rencontre l'amour : elle va tomber amoureuse d'un homme qui n'est pas son mari : Charles Grey, le futur Premier Ministre... Certains trouveront ce film un peu trop "romantique", voire à l'eau de rose... C'est vrai qu'on est loin de l'intellectualisme façon Bergman, mais le cinéma, ce n'est pas fait pour se "prendre la tête" ! Et à propos de tête, celle de Keira Knightley me plaît beaucoup beaucoup beaucoup !  C'est comme ça, j'ai parfois des foucades ! Il y eut Corinne Le Poulain... Marie-France Pisier... Vanessa Demouy...Il y a en ce moment Keira Knightley : visage fin, et surtout une sorte d'espièglerie toujours à la limite de l'impertinence... Keira Knightley joue à merveille ; les rôles de princesses et autres personnages costumés des films historiques  conviennent parfaitement à sa jolie silhouette ! Et comme je ne suis nullement objectif quand une actrice me plaît, eh bien.... j'ai beaucoup aimé ce film, évidemment ! Quand je suis "fan", ma préférée peut jouer n'importe quel film, j'adore, forcément ! C'est comme ça quand on aime !!... Le plus dur, c'est le nom de l'actrice : Keira Knightley ! Bon, je vous aide, je vous dois bien ça, à vous qui venez me lire : il faut prononcer : "Ké-ira  Naïtt-lait" ! On ne prononce pas le K initial, ouf, et  c'est tant mieux !  Indépendamment de mon admiration béate pour elle (rassurez-vous, ça me passera avant que ça vous reprenne !), j'ai toujours aimé les films en costumes d'époque, car c'est un peu comme si je vivais des temps que je n'ai jamais connus, c'est un dépaysement inimaginable, un voyage qu'aucune agence ne peut offrir : un voyage dans le temps... Or voyager dans le temps est déjà fabuleux... alors quand en plus on y rencontre Keïra Knightley, je vous dis pas !...Mais si, je vous le dis : ça devient alors féerique !... (traduction en langage jeune : "Putain, trop canon la meuf !...")

    Bio : Il fallait s'y attendre, la seule biographie que je présente ici est celle de Keira Knightley ; cette délicieuse actrice est née en mars 1985 en Angleterre. Elle est la fille de son père, chose assez courante, sauf que le sien était dans le show-bizz.. On a beau dire, ça aide un peu pour faire du cinéma, je l'ai souvent remarqué ! Ainsi, dès l'âge de sept ans, en 1993, la tite Keira joue dans des feuilletons télévisés...  Mais c'est à partir de 2003 qu'elle acquiert une célébrité mondiale -elle a alors 18 ans- en jouant dans Pirate des Caraïbes, au côté de Johnny Depp. Keira Knightley, qui fut aussi mannequin, est l'égérie de Chanel, pour le spot dédié au parfum "Coco Mademoiselle". On reproche parfois à Keira Knightley d'avoir un "joli visage" ! Quelle critique imbécile ! Faut-il donc avoir une gueule d'empeigne, un faciès simiesque ou la tronche à la Michel Simon pour avoir du talent ? Surtout, Keira Knightley a une extrême vivacité de jeu, et son regard pétille d'esprit, tandis que son sourire porte souvent la marque d'une certaine ironie et d'une grande espièglerie... Charme et féminité la caractérisent, un brin de rouerie charmante, on est loin de la la vulgarité de basse classe que l'on trouve parfois chez d'autres qui s'exhibent avec insolence sur le plateau de Ruquier où elles n'apportent qu'une grande gueule en guise de talent... Je ne citerai pas de noms... pas aujourd'hui, mais...ça viendra ! 


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  • On avait déjà eu droit, dans le genre aventures rocambolesques à la sauce religieuse, au fameux Da Vinci Code ! Le succès populaire ayant été certain, le réalisateur Ron Howard revient à la soupe, en nous servant "Anges et Démons", une nouvelle ratatouille sur fond de religion encore ! Le film est sorti en mai 2009, avec Tom Hanks, Ewan Mc Grégor et Stellan Skarsgard. Cette fois, c'est le Vatican qui est dans le collimateur des méchants. Suite à la mort d'un pape, une confrérie secrète, dont les membres sont les descendants des lointains "Illuminati" du Moyen-Âge, décident de faire exploser le Vatican. Pour réaliser ce noir dessein, nos sectaires ont pourtant recours à la modernité la plus en pointe : ils dérobent dans un accélérateur de particules de Suisse un précieux tube contenant de l'antimatière, synthétisée pour la première fois. Comme quoi, la chose n'est pas nouvelle, dès qu'une invention voit le jour, elle est immédiatement détournée pour être mise au service du mal : l'homme est noir !... Bien entendu, les "Illuminati" envoient au Vatican des lettres de menaces. Les services secrets de la papauté font alors appel au Professeur Langdon, un Américain très au fait des symboles et versé dans l'ésotérisme religieux dont il veut percer les arcanes... Il sera secondé dans sa noble mission par une scientifique jeune et belle, évidemment, ils n'allaient pas confier le rôle à Arlette Chabot, ça aurait cassé l'ambiance ! C'est le début d'une indicible et infernale course poursuite au sein du Vatican, dans le contexte du conclave réuni pour procéder à l'élection d'un nouveau pape... L'action est embrouillée, confuse, invraisemblable, ça tient à la fois du mauvais polar, du thriller pédant à prétention sciento-ésotérique : le professeur part à la chasse aux symboles pour débusquer la fameuse antimatière qui va exploser à minuit (l'heure du crime, c'est bien connu !)Quatre cardinaux ont été enlevés, les Illuminati en abattront un toutes les heures ! C'est dire si ça leur met la pression, aux poursuivants ! Alors ça court, ça défouraille, ça tire dans tous les sens, on assassine, on crie, dans le ballet des hélicoptères, les mouvements de foule...  Un cardinal est tué... puis deux... puis un troisième pour vérifier le proverbe "jamais deux sans trois", mais ouf ! Le jeu de piste se termine comme il se doit ;  force restera à la loi, l'ordre est sauf et la vie du quatrième cardinal sera sauvée : ça tombe bien, c'est lui qui est élu pape ! Les spectateurs sont rassurés : ils suçotent leur esquimau en paix et pourront laisser leurs mômes au catéchisme, la morale bien-pensante a triomphé du mal !... Rien d'autre à dire sur cette purée aventuro-catholico-abracadabrantesque : si les voies du Seigneur sont impénétrables, le film de Ron Howard, lui, est imbitable. Heureusement j'ai pu le voir à demi-tarif, mais... ça ne me console qu'à moitié !


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