• Trois coeurs, film  clopeux de Benoît Jacquot,2014

     

    Un imbroglio d'histoires de cul croisées, entre des partenaires qui ne sont plus de la toute première fraîcheur... En outre, ce film inintéressant au possible est complètement scandaleux par l'usage de la clope dont il fait une véritable promotion ! Il est vrai qu'avec Catherine Deneuve et Poelvoerde, on pouvait s'attendre au pire dans ce domaine ; et c'est bien ce qui se passe, à croire que le réalisateur se passionne pour la promotion du cancer du poumon ! Et tout cela dans l'indifférence générale, je dois être à peu près le seul à m'insurger contre la tabagie généralisée du cinéma contemporain ! Cette promotion de la clope par les acteurs devrait être poursuivie en justice pour mise en danger de la vie d'autrui par la promotion de produit cancérigène ! Merde à ce film et à son réalisateur, et honte aux clopeurs-acteurs qui détournent, sous prétexte de "liberté d'expression" les lois anti-tabac ! Je boycotte ce film ! Faites comme moi, ne cautionnez pas la clope, au cinéma, car cette merde fait 73 000 morts chaque année en France, ce dont semblent se foutre ici réalisateur et acteurs. 


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  • Le Bachelier, roman de Jules Vallès, 1881

     

    Ce roman fait partie d’une trilogie, c’est-à-dire un ensemble de trois romans ; L’Enfance, Le Bachelier, l’Insurgé. Dans Le Bachelier, œuvre largement autobiographique,  Jules Vallès nous raconte l’histoire  du jeune Jacques Vingtras, qui se lance, muni de son baccalauréat, dans le monde qui l’entoure. Naïf et exalté, idéaliste, il se range délibérément du côté des pauvres.  Se montrant républicain, quasiment révolutionnaire, il attend le « grand soir », au milieu de quelques amis comme lui, fauchés, mais pleins d’illusions... Choisissant la République, contre Napoléon III, il mène une existence très dure : mal logé, mal nourri, mal vêtu, il va de petit boulot en petit boulot. Sur le plan sentimental, c’est également la déroute : Vingtras s’est épris d’une dame, mais il constate très rapidement qu’elle déteste les « sans-dents » !!!... Il la quitte et se lance vaguement dans le journalisme où patatras, il végète. Et pendant ce temps, les parents de Vingtras se séparent, car son père est allé folâtrer avec une tite jeune, croquante et fraîche comme une laitue primeur, ce qui, en général, déplaît beaucoup dans les familles, même celles qui se prétendent éprises de liberté. Au fond, ce livre ne raconte rien de bien exaltant, et il ne fait que nous livrer les états d’âme de l’auteur, dans un style suranné et poussiéreux comme on en trouve tant chez bon nombre d’auteurs du 19è siècle.  A la fin du bouquin, le père de Vingtras meurt et le héros retrouve sa mère. Bof !... On peut lire Le Bachelier.... mais on peut aussi vivre sans...


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  • Le Bachelier, roman de Jules Vallès, 1881

     

    Ce roman fait partie d’une trilogie, c’est-à-dire un ensemble de trois romans ; L’Enfance, Le Bachelier, l’Insurgé. Dans Le Bachelier, œuvre largement autobiographique,  Jules Vallès nous raconte l’histoire  du jeune Jacques Vingtras, qui se lance, muni de son baccalauréat, dans le monde qui l’entoure. Naïf et exalté, idéaliste, il se range délibérément du côté des pauvres.  Se montrant républicain, quasiment révolutionnaire, il attend le « grand soir », au milieu de quelques amis comme lui, fauchés, mais pleins d’illusions... Choisissant la République, contre Napoléon III, il mène une existence très dure : mal logé, mal nourri, mal vêtu, il va de petit boulot en petit boulot. Sur le plan sentimental, c’est également la déroute : Vingtras s’est épris d’une dame, mais il constate très rapidement qu’elle déteste les « sans-dents » !!!... Il la quitte et se lance vaguement dans le journalisme où patatras, il végète. Et pendant ce temps, les parents de Vingtras se séparent, car son père est allé folâtrer avec une tite jeune, croquante et fraîche comme une laitue primeur, ce qui, en général, déplaît beaucoup dans les familles, même celles qui se prétendent éprises de liberté. Au fond, ce livre ne raconte rien de bien exaltant, et il ne fait que nous livrer les états d’âme de l’auteur, dans un style suranné et poussiéreux comme on en trouve tant chez bon nombre d’auteurs du 19è siècle.  A la fin du bouquin, le père de Vingtras meurt et le héros retrouve sa mère. Bof !... On peut lire Le Bachelier.... mais on peut aussi vivre sans...


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