• ECHAP – Film nullissime de Christophe Berthemin, honte à lui – 2011 –

    Acteurs : Noémie Alazard VachetAnna Polina

    J’ai parfois eu la dent dure avec certains films ; mais ce n’est rien à côté de cette merde filmée, d’une nullité rarement atteinte ! On devrait créer un Festival des Films Ratés ! Echap serait en bonne position pour la palme ! Voici un bout de l’histoire : Cinq copines se réveillent après une nuit de beuverie en boîte pour enterrer la vie de jeune fille d’une des leurs. Et faut voir le genre de meufs ! C’est à gerber déjà, de regarder ces cinq pouffiasses, d’une rare vulgarité ; elles sont moches, ordinaires, cheveux gras, des corps flasques, des nibards mollassons qui évoquent des blocs de gélatine sur une plateforme d’autobus, ou de la tête de veau dans une assiette tenue par un parkinsonien ! Franchement dégueulasse… Quant à leurs tronches, telles qu'elles sont filmées ici, on devine immédiatement qu’elles n’ont jamais envisagé d’aller plus loin que la scolarité obligatoire… Elles se réveillent donc la gueule pâteuse, pas fraîches et peu ragoutantes, l’horreur absolue !... Là-dessus, elles se lancent dans une sorte de jeu, entre le spiritisme, le scrabble et un jeu en ligne, dont la touche echap ne leur permet pas de sortir facilement… C'est long, interminablement long, on sent le mec qui n'a rien à dire et tient pourtant à l'exprimer. Au cours du jeu, voici que se pointe un ancien pote décédé, c’est donc un revenant !... Mais moi, j'en suis pas revenu ! On se fait chier comme ce n’est pas possible, de la première à la dernière image. Christophe Berthemin n’est pas un réalisateur, c’est un nullard égaré dans le cinéma. Et comme il ne se prend pas pour une merde, et se croit évidemment intelligent, il surfe sur Twitter, où il donne plein d’avis sur toutes sortes de sujets, des avis pleins de suffisance ! Car il se prend pour un réalisteur à message sans doute ! Ah misère ! En tout cas, échappez-vous du film Echap ! N'allez pas le voir, n'achetez pas le DVD non plus ! C’est pitoyable, un cinéma comme ça ! C’est même pas un brouillon… Et dire que c’est en partie avec notre pognon qu’on tourne de pareilles inepties ! Eh oui, la fameuse «exception culturelle française» qui permet de financer des réalisateurs qui fabriquent des torchons, ou bien des films où les réalisateurs font de la pub pour la clope à longueur de scènes, en se foutant des lois anti-tabac, et en se foutant aussi d'intoxiquer les jeunes d'aujourd'hui qui seront les cancéreux de demain ! Et ce sont les mêmes souvent qu'on voit, la gueule enfarinée, ou la bouche gonflée à en éclater par la chirurgie, défiler en braillant dans des manifs où ils jouent les généreux et les humanistes pour défendre les mal-logés et les sans-papiers... avant de rentrer chez eux, place des Vosges, ou dans un loft à Montmartre !!!... Des humanistes qui tuent la jeunesse à coup de clopes dans les films dès la bande-annonce, comme on le voit de plus en plus, ah les salauds !


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    Le Comte de Bouderbala, spectacle humoristique vu à Vitry le 8 février 2013

    J’avoue que c’est un peu par hasard et sans grande conviction que je suis allé voir le spectacle « Le Comte de Bouderbala », par l’humoriste algérien Sami Ameziane. C’était au théâtre Jean-Vilar de Vitry… Mais à la sortie, après une heure trente d’un monologue étourdissant, les côtes endolories encore d’un rire quasi ininterrompu, je me suis dit qu’il eût été infiniment dommage de louper cet humoriste « stand up » (ça veut dire tout simplement qu’il est seul en scène, debout, et raconte ses histoires)… Quelles histoires ? D’abord sa propre histoire, l’itinéraire improbable d’un Algérien arrivé en France, joueur de basket international, puis étudiant aux USA dans l’université du Connecticut… Mais à travers le fil conducteur de ce curriculum vitae, se glissent de très nombreuses digressions au vitriol, qui sont autant d’occasions de dénoncer tous les travers socio-culturels de notre société… Le Comte de Bouderbala frappe tous azimuts en traquant inlassablement la bêtise crasse, c’est dire qu’il pourrait tenir la scène pendant des journées entières sans épuiser le sujet ! Tout y passe : les footeux, les rugbymen qui posent nus pour des calendriers, le racisme, les arabes, les juifs, l’école, les chanteurs, les fautes de français des rappeurs et slameurs, le cinéma,  et l’incontournable DSK !...  On ne décrit pas Sami Ameziane, on ne résume pas son spectacle… C’est trop riche ! C’est un peu comme si je voulais vous raconter un feu d’artifice : mission impossible ! Et « Le Comte de Bouderbala » c’est un feu d’artifice : il faut le voir… Une seule conclusion : qui que vous soyez, où que vous soyez : Allez-y, courez-y ! Foncez ! Allez applaudir le Comte de Bouderbala. Vous passerez un rare moment de rire… pas le rire gras des soirées TV imbéciles… mais le plus grand des rires, celui qui, dans le même temps, fait réfléchir… Bravo Sami et merci !


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    Le Comte de Bouderbala, spectacle humoristique vu à Vitry le 8 février 2013

    J’avoue que c’est un peu par hasard et sans grande conviction que je suis allé voir le spectacle « Le Comte de Bouderbala », par l’humoriste algérien Sami Ameziane. C’était au théâtre Jean-Vilar de Vitry… Mais à la sortie, après une heure trente d’un monologue étourdissant, les côtes endolories encore d’un rire quasi ininterrompu, je me suis dit qu’il eût été infiniment dommage de louper cet humoriste « stand up » (ça veut dire tout simplement qu’il est seul en scène, debout, et raconte ses histoires)… Quelles histoires ? D’abord sa propre histoire, l’itinéraire improbable d’un Algérien arrivé en France, joueur de basket international, puis étudiant aux USA dans l’université du Connecticut… Mais à travers le fil conducteur de ce curriculum vitae, se glissent de très nombreuses digressions au vitriol, qui sont autant d’occasions de dénoncer tous les travers socio-culturels de notre société… Le Comte de Bouderbala frappe tous azimuts en traquant inlassablement la bêtise crasse, c’est dire qu’il pourrait tenir la scène pendant des journées entières sans épuiser le sujet ! Tout y passe : les footeux, les rugbymen qui posent nus pour des calendriers, le racisme, les arabes, les juifs, l’école, les chanteurs, les fautes de français des rappeurs et slameurs, le cinéma,  et l’incontournable DSK !...  On ne décrit pas Sami Ameziane, on ne résume pas son spectacle… C’est trop riche ! C’est un peu comme si je voulais vous raconter un feu d’artifice : mission impossible ! Et « Le Comte de Bouderbala » c’est un feu d’artifice : il faut le voir… Une seule conclusion : qui que vous soyez, où que vous soyez : Allez-y, courez-y ! Foncez ! Allez applaudir le Comte de Bouderbala. Vous passerez un rare moment de rire… pas le rire gras des soirées TV imbéciles… mais le plus grand des rires, celui qui, dans le même temps, fait réfléchir… Bravo Sami et merci !


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    Les Autos tamponneuses – roman de Stéphane Hoffmann - 2011

    Quel est l’enfant de salaud, le fils de pute qui m’a recommandé de lire ce roman ? Quel est le critique de merde qui l’a porté au pinacle ? Moi j’ai poussé un grand ouf ! en le refermant, ne regrettant finalement que trois choses :

    - 1 de l’avoir payé, 17 euros tout de même..

    - 2 de l’avoir ouvert

    - 3 de l’avoir lu, ce qui m’a fait perdre de précieuses heures que j’aurais pu consacrer à tant d’autres choses…

    Car ce roman est une bien piètre littérature. Ce n’est que le livre bavard d’un auteur nombriliste qui nous invite à lire ses élucubrations personnelles sur le vécu de son mariage et de toutes les vicissitudes qui vont avec… Sans doute ces épreuves lui tiennent à cœur ! Dame, ce sont les siennes ! Mais de là à nous étaler ses emmerdes, il y a un pas qu’il n’aurait pas dû franchir… Toutes ces petites tribulations, ces anecdotes minables, ces petites vacheries humaines de bas étage dans une famille de bourges friqués, ces mondanités pitoyables et sans intérêt m’ont prodigieusement emmerdé, je n’ai pas peur de le dire…  Si encore le livre prenait de la hauteur, s’il tutoyait la philosophie, s’il tangentait une certaines hauteur de vue ! Mais on en est très loin ! On est à des années lumières de Gide… Patatras ! Ici on papote, on lance une pointe d’ironie à deux balles, on balance un aphorisme pour comptoir de café du commerce, et on noircit ainsi 233 pages avec une évidente autosatisfaction… Cela étant, je ne suis pas tout seul, d’autres ont aimé le roman et Albin Michel l’a publié ! Stéphane Hoffmann a par ailleurs écrit en 1996 un traité sur les bienfaits du tabac ! Faudra m’expliquer en quoi les 73000 morts du tabac chaque année en France sont un bienfait !  Mais concluons : Les autos tamponneuses, moi je m’en tamponne !


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    Les Autos tamponneuses – roman de Stéphane Hoffmann - 2011

    Quel est l’enfant de salaud, le fils de pute qui m’a recommandé de lire ce roman ? Quel est le critique de merde qui l’a porté au pinacle ? Moi j’ai poussé un grand ouf ! en le refermant, ne regrettant finalement que trois choses :

    - 1 de l’avoir payé, 17 euros tout de même..

    - 2 de l’avoir ouvert

    - 3 de l’avoir lu, ce qui m’a fait perdre de précieuses heures que j’aurais pu consacrer à tant d’autres choses…

    Car ce roman est une bien piètre littérature. Ce n’est que le livre bavard d’un auteur nombriliste qui nous invite à lire ses élucubrations personnelles sur le vécu de son mariage et de toutes les vicissitudes qui vont avec… Sans doute ces épreuves lui tiennent à cœur ! Dame, ce sont les siennes ! Mais de là à nous étaler ses emmerdes, il y a un pas qu’il n’aurait pas dû franchir… Toutes ces petites tribulations, ces anecdotes minables, ces petites vacheries humaines de bas étage dans une famille de bourges friqués, ces mondanités pitoyables et sans intérêt m’ont prodigieusement emmerdé, je n’ai pas peur de le dire…  Si encore le livre prenait de la hauteur, s’il tutoyait la philosophie, s’il tangentait une certaines hauteur de vue ! Mais on en est très loin ! On est à des années lumières de Gide… Patatras ! Ici on papote, on lance une pointe d’ironie à deux balles, on balance un aphorisme pour comptoir de café du commerce, et on noircit ainsi 233 pages avec une évidente autosatisfaction… Cela étant, je ne suis pas tout seul, d’autres ont aimé le roman et Albin Michel l’a publié ! Stéphane Hoffmann a par ailleurs écrit en 1996 un traité sur les bienfaits du tabac ! Faudra m’expliquer en quoi les 73000 morts du tabac chaque année en France sont un bienfait !  Mais concluons : Les autos tamponneuses, moi je m’en tamponne !


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