•  

    1984 – roman de George Orwell – 1949

     

    Ce célèbre roman d’anticipation mérite une place à part dans les récits de science-fiction. En effet, son grand mérite est de rester dans le registre de la vie quotidienne d’une société futuriste. Pas de machines fabuleuses  ni de choses extraordinaires. Pas non plus de galaxies lointaines... L’histoire se déroule en 1984, sur notre terre, à Londres... L’histoire est la suivante : après les guerres nucléaires qui ont ravagé le monde dans les années 50, un nouvel ordre mondial et social s’est établi. Le monde est divisé entre trois superpuissances : Océania, Eurasia, et Estasia, constamment en guerre. D’autre part, le pouvoir est détenu par le Parti, mystérieuse organisation sous l’omniprésence de Big Brother, qui voit tout et tout le monde en permanence, grâce au « télécran », appareil hybride, mi téléviseur mi caméra, qui permet de surveiller les faits et gestes de chacun à son domicile. La Société comprend trois classes : en haut les membres du Parti Intérieur ; au milieu le Parti Externe, et tout en bas les prolétaires, juste bons à pondre, torcher les mômes et se distraire avec des jeux idiots et des spectacles imbéciles confectionnés à leur intention, pour les tenir en étroite sujétion, ce dont ils n’ont même pas conscience du fait de leur bêtise... Par ailleurs, le Parti s’emploie à détruire la langue, afin de promouvoir un nouveau langage, le « novlangue », afin de brider la pensée des citoyens. Enfin, une Police de la Pensée élimine les déviants que l’on a pu repérer grâce au télécran. Le héros du roman, Winston Smith, membre du parti extérieur, travaille au Ministère de la Vérité, où il est chargé de truquer toutes les archives du passés, pour les faire correspondre à la version officielle du parti. Mais Winston, qui vit à Londres, ne se résout pas à cette société nouvelle. En cachette de son télécran, il rédige des mémoires où dépose des traces écrites du passé. Un jour, pendant une émission collective, les «minutes de la Haine », il rencontre Julia, membre de la Ligue antisexe des juniors... Ces deux là vont s’apprivoiser, faire l’amour, s’aimer clandestinement (car l’amour est interdit aux membres du Parti) et s’unir finalement dans un projet de rébellion contre le régime. Mais leur logeur a dissimulé un télécran dans la pièce où ils demeurent. Julia et Winston, surveillés depuis longtemps par Big Brother seront arrêtés et séparés. Le parti s’emploiera à « rééduquer » Winston pendant des mois de torture... N’en disons pas davantage. Ce roman de fiction a des aspects qui rejoignent notre société actuelle et sa tendance accrue au voyeurisme et à la télésurveillance.... Il décrit en détail les caractéristiques et les mécanismes d’un Etat totalitaire devenu terrifiant.... A lire absolument.

     


    votre commentaire
  •  

    Jappeloup : la Crapule de la clope a encore sévi au cinéma !

    On ne va pas y aller par quatre chemins : dans ce film actuellement sur les écrans, c’est d’abord comme dans les raviolis et les lasagnes de chez Findus : il y a trop de cheval ! Pendant deux heures, il ne se passe rien, rien que des canassons qui sautent des obstacles, de Prix en Prix, pour la gloriole égocentrique de quelques personnages qui ne s’intéressent qu’à ça, et à qui il ne vient jamais l’idée d’ouvrir un bon livre par exemple.... Un quart d’heure ça va, mais deux heures de sauts d’obstacles, on s’emmerde grave ! Mais il y a pire ! La Crapule tabagique a encore frappé un grand coup : la clope est omniprésente tout au long du film... on voit même un connard fumer en présence d’un cheval dans son box ! C’est sans doute excellent pour les bronches de la bête !... Dans le rôle des séides de la clope, Daniel Auteuil est en première ligne : complètement bouffé par le tabac, il n’est même plus capable de dire deux mots sans conserver le mégot serré dans les badigoinces... Pitoyable spectacle que cet homme désormais empâté, ravagé par le tabac... Je dis cela objectivement, et c’est son droit de se tuer comme il l’entend... Mais une fois de plus, et je le redirai tant qu’il le faudra : NON à la clope au cinéma, lorsque la nécessité ne le commande pas ! Ici, que vient foutre le tabac omniprésent sur des pistes sportives, dans des paysages à la campagne ?...  Pourquoi pourrir la nature avec cette merde cancérigène ?... J’attends les réponses ! Daniel Auteuil fait une publicité odieuse et obscène au tabac, et la marque Gitanes est bien exposée sur les images du film ! Avis aux amateurs de cancer du poumon ! Le pire c’est que la société est actuellement complètement muselée et conditionnée... Malgré ces innombrables clopes dans le film... personne ne moufte dans la salle... pas un murmure ! Ce soir, sur le plateau de France 2, une brochette de critiques discutaillait sur ce film... aucun n’a remarqué la clope ! Etonnant !... Alors que si on nous montrait un cheval broutant des OGM, ça ferait un scandale ! Il faudrait faire payer de lourdes amendes à Auteuil et Higelin, autre séide de la clope dans ce film, il faut changer d’urgence les lois actuelles, les rendre beaucoup plus dures, car il s’agit d’inverser cette terrible courbe de la mort par la clope, qui fait 73 000 victimes chaque année ! Et il est indispensable d’empêcher les acteurs et réalisateurs drogués par cette merde, d’en faire de la publicité en utilisant abusivement l’image, sous prétexte de « liberté d’expression » ou de « création artistique ». Qui m’expliquera ce qu’il y a d’artistique dans l’omniprésence de la clope dans ce film ???... Et ne me parlez pas de liberté ! Elle est où, la liberté d’Auteuil, incapable de lâcher sa clope ??? La solution, nous l’avons les uns et les autres : il suffit d’un peu de courage : il faut boycotter ce film, faire connaître et dénoncer autour de vous cet usage abusif de la clope au cinéma... Bref cessez d’être des veaux, ouvrez votre esprit, sachez voir, regarder, comprendre... Nous pouvons faire cesser le scandale du tabac dans les films, il suffit de les bouder, et les cinéastes comprendront vite le manque à gagner !  Il y va de la santé de tous !... Encore faut-il pour ça que les gens ouvrent leur esprit.... et là, c’est pas gagné !...


    2 commentaires
  •  

    Jappeloup : la crapule de la clope a encore sévi au cinéma !

    On ne va pas y aller par quatre chemins : dans ce film actuellement sur les écrans, c’est d’abord comme dans les raviolis et les lasagnes de chez Findus : il y a trop de cheval ! Pendant deux heures, il ne se passe rien, rien que des canassons qui sautent des obstacles, de Prix en Prix, pour la gloriole égocentrique de quelques personnages qui ne s’intéressent qu’à ça, et à qui il ne vient jamais l’idée d’ouvrir un bon livre par exemple.... Un quart d’heure ça va, mais deux heures de sauts d’obstacles, on s’emmerde grave ! Mais il y a pire ! La Crapule tabagique a encore frappé un grand coup : la clope est omniprésente tout au long du film... on voit même un connard fumer en présence d’un cheval dans son box ! C’est sans doute excellent pour les bronches de la bête !... Dans le rôle des séides de la clope, Daniel Auteuil est en première ligne : complètement bouffé par le tabac, il n’est même plus capable de dire deux mots sans conserver le mégot serré dans les badigoinces... Pitoyable spectacle que cet homme désormais empâté, ravagé par le tabac... Je dis cela objectivement, et c’est son droit de se tuer comme il l’entend... Mais une fois de plus, et je le redirai tant qu’il le faudra : NON à la clope au cinéma, lorsque la nécessité ne le commande pas ! Ici, que vient foutre le tabac omniprésent sur des pistes sportives, dans des paysages à la campagne ?...  Pourquoi pourrir la nature avec cette merde cancérigène ?... J’attends les réponses ! Daniel Auteuil fait une publicité odieuse et obscène au tabac, et la marque Gitanes est bien exposée sur les images du film ! Avis aux amateurs de cancer du poumon ! Le pire c’est que la société est actuellement complètement muselée et conditionnée... Malgré ces innombrables clopes dans le film... personne ne moufte dans la salle... pas un murmure ! Ce soir, sur le plateau de France 2, une brochette de critiques discutaillait sur ce film... aucun n’a remarqué la clope ! Etonnant !... Alors que si on nous montrait un cheval broutant des OGM, ça ferait un scandale ! Il faudrait faire payer de lourdes amendes à Auteuil et Higelin, autre séide de la clope dans ce film, il faut changer d’urgence les lois actuelles, les rendre beaucoup plus dures, car il s’agit d’inverser cette terrible courbe de la mort par la clope, qui fait 73 000 victimes chaque année ! Et il est indispensable d’empêcher les acteurs et réalisateurs drogués par cette merde, d’en faire de la publicité en utilisant abusivement l’image, sous prétexte de « liberté d’expression » ou de « création artistique ». Qui m’expliquera ce qu’il y a d’artistique dans l’omniprésence de la clope dans ce film ???... Et ne me parlez pas de liberté ! Elle est où, la liberté d’Auteuil, incapable de lâcher sa clope ??? La solution, nous l’avons les uns et les autres : il suffit d’un peu de courage : il faut boycotter ce film, faire connaître et dénoncer autour de vous cet usage abusif de la clope au cinéma... Bref cessez d’être des veaux, ouvrez votre esprit, sachez voir, regarder, comprendre... Nous pouvons faire cesser le scandale du tabac dans les films, il suffit de les bouder, et les cinéastes comprendront vite le manque à gagner !  Il y va de la santé de tous !... Encore faut-il pour ça que les gens ouvrent leur esprit.... et là, c’est pas gagné !...


    votre commentaire
  •  

    Animal Kingdom – film de David Michod - 2011

    Avec : Guy PearceJames FrechevilleJacki Weaver

     

    Ce film australien est remarquable, car il offre une approche très originale du film noir. Habituellement,  la crapule nous est montrée dans ses œuvres : fusillades, hold-ups, meurtres, courses-poursuites entre la police et les criminels… Mais ici le jeu est beaucoup plus subtil. Le réalisateur nous montre les truands dans leur vie de famille, autrement dit en dehors de leurs activités « professionnelles ». L’histoire est la suivante : Nous sommes à Melbourne, et Joshua, un ado, voit mourir sa mère d’une overdose de drogue. Désemparé, il appelle sa tante, qu’il n’avait pas vue depuis des années. Elle le recueille ; c’est ainsi que Joshua entre dans sa nouvelle famille, la famille Cody… des oncles plus crapuleux les uns que les autres et sur lesquels veille leur mère avec une tendresse animale, une matrone qui pardonne tout à ses petits… Joshua observe l’étrange manège de toute cette famille, il est même le témoin d’une entrevue entre un de ses oncles et un policier corrompu… Mais surtout, un policier  tente d’utiliser l’inexpérience du jeune Joshua et tente de gagner sa confiance, histoire d’infiltrer la famille de truands… Mais pour cela, Joshua devra choisir son camp. D'un côté il subit l'emprise de la police, de l'autre la pression de sa famille... C’est comme dans la nature : il y a les forts et les faibles. Parfois des faibles survivent parce qu’ils sont sous la protection des forts… jusqu’au moment où les forts sont terrassés… Le film ménage un suspense constant, jusqu’au dénouement, inattendu et d’une dimension tragique… Du bon, du très bon cinéma. De quoi oublier cette foutue neige qui tombe à 10 jours du printemps !... Allez, démerdez-vous pour trouver le DVD. Moi je l’ai emprunté à la médiathèque de Vitry sur Seine.


    votre commentaire
  •  

    Animal Kingdom – film de David Michod - 2011

    Avec : Guy PearceJames FrechevilleJacki Weaver

     

    Ce film australien est remarquable, car il offre une approche très originale du film noir. Habituellement, la crapule nous est montrée dans ses œuvres : fusillades, hold-ups, crimes, courses-poursuites entre la police et les criminels… Mais ici le jeu est beaucoup plus subtil. Le réalisateur nous montre les truands dans leur vie de famille, autrement dit en dehors de leurs activités « professionnelles ». L’histoire est la suivante : Nous sommes à Melbourne, et Joshua, un ado, voit mourir sa mère d’une overdose de drogue. Désemparé, il appelle sa tante, qu’il n’avait pas vue depuis des années. Elle le recueille ; c’est ainsi que Joshua entre dans sa nouvelle famille, la famille Cody… des oncles plus crapuleux les uns que les autres et sur lesquels veille leur mère avec une tendresse animale, une matrone qui pardonne tout à ses petits… Joshua observe l’étrange manège de toute cette famille, il est même le témoin d’une entrevue entre un de ses oncles et un flic corrompu… Mais surtout, un policier, calme et intelligent,  décide d'utiliser l’inexpérience du jeune Joshua et tente de gagner sa confiance, histoire d’infiltrer la famille de truands… Mais pour cela, Joshua devra choisir son camp. D'un côté il subit l'emprise de la police, de l'autre la pression de sa famille... C’est comme dans la nature : il y a les forts et les faibles. Parfois des faibles survivent parce qu’ils sont sous la protection des forts… jusqu’au moment où les forts sont terrassés… Le film ménage un suspense constant, jusqu’au dénouement, inattendu et d’une dimension tragique… Du bon, du très bon cinéma. De quoi oublier cette foutue neige qui tombe à 10 jours du printemps !... Allez, démerdez-vous pour trouver le DVD. Moi je l’ai emprunté à la médiathèque de Vitry sur Seine.


    votre commentaire