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    La Fiancée du pirate – film de Nelly Kaplan – 1969 –

    Acteurs : Bernadette Lafont (Marie), Michel Constantin (André), Julien Guiomar (Le Duc)

    fiancee

    Ce film déjà ancien (1969 l’année de mon mariage, ça ne me rajeunit pas !) est une sorte de conte moderne, et comme tous les contes il comporte des situations allégoriques et moralisantes… Marie est une Cendrillon, une jeune fille très pauvre, qui arrive un jour dans un village en compagnie de sa mère. Toutes deux sont des nomades, des étrangères… Elles vont être exploitées par les gens du village, une vraie bandes de cons de la France profonde, qui ont accepté de les héberger dans une cabane misérable en pleine forêt, sans eau ni électricité. En échange de ce « don », les deux femmes sont exploitées, et traitées comme des esclaves. Un jour, la mère de Marie est renversée et tuée sur la route par un automobiliste inconnu qui a pris la fuite. Restée seule, Marie est mal vue du village, considérée comme une sorcière, d’ailleurs elle possède un bouc noir, ce n’est pas bon signe ! Pourtant Marie affole par ses charmes juvéniles et ses rondeurs fermes et fraîches les hommes frustrés de ce village de bouseux, où les seules femelles disponibles sont de robustes mémés à tablier à carreaux, de repoussantes matrones, épicières ou fermières sans attrait, aussi sexys qu’une Martine Aubry en nuisette ou une Edith Cresson en porte-jarretelles !... Mais Marie décide de se venger…. Elle fait payer les hommes. La situation s’inverse : c’est désormais Marie la maîtresse, et les hommes du village sont ses esclaves, apportant billets et pièces… Marie devient riche : or contre corps… Et puis Marie fait un jour la connaissance d’André, un projectionniste qui va de village en village projeter des films.  En ce moment, et pour plusieurs mois encore, il projette le film La Fiancée du pirate. Et André, contrairement aux autres, respecte Marie , c’est-à-dire qu’il est plus hypocrite dans son approche, invitant seulement Marie à venir voir le film, un jour… On se doute qu’elle va en tomber amoureuse, car les femmes sont toujours naïves dans ce domaine, sans se douter que le prince apparemment charmant et délicat qu’elles s’imaginent avoir trouvé, moins de cinq ans plus tard empestera la bière et braillera devant la télé, le cul dans le canapé, tout en rotant bruyamment devant un match de foot à la con… !  Revenons au film : Marie, je l’ai dit, décide de se venger. André lui a rapporté de la ville un magnétophone… Marie, maligne comme un singe, va donc enregistrer en micro caché les propos intimes ou graveleux de tous les hommes du village qui viennent la sauter dans la cabane ! Puis elle se rend à l’église du village pendant la messe… et diffuse les messages ! Les turpitudes de chacun éclatent aux oreilles de tous !... Scandale !... Effet garanti ! Furieux, les villageois décident de se débarrasser de Marie. Mais elle a prévu le coup,  et quand les villageois arrivent à la cabane, elle est en flammes, et Marie est partie… Seule sur la route dans sa robe courte et affriolante, elle marche vers la ville, où l’on projette La Fiancée du pirate et va retrouver son Jules, lequel se prénomme André si vous avez bien suivi !… Le film s’achève ainsi, en bluette à l’eau de rose… FIN ! Eh oui, une morale finalement  bien conformiste et bien gnan-gnan. Certains critiques ont dit que Marie, après s’être vengée, marchait vers la liberté… En réalité, elle rejoint André le projectionniste… en sorte qu’elle ne fait que quitter un esclavage pour un autre, même si ce dernier est consenti ! Comme l’a écrit Gilles Ménage en son temps : « Le changement de fers tient lieu de liberté ». Cela dit, ce film en forme de fable, se laisse regarder  sans ennui, en dépit de quelques scènes qui traînent un peu en longueur. Et puis, il nous montre les débuts cinématographiques de Bernadette Lafont, dans le rôle de Marie. Et c’est toujours intéressant, les débuts d’une actrice, car le réalisateur en profite toujours pour la montrer toute nue, ce qu’elle ne refuse jamais, afin de ne pas être immédiatement virée et remplacée par une autre, moins prude et moins chichiteuse ! Avis aux féministes enragées qui seraient outrées par mon propos : cette façon de faire - déshabiller une jeune actrice - n’est nullement une exploitation honteuse des femmes, mais seulement la mise en valeur de l’éclat de leur beauté, laquelle est souvent plus éclatante et plus évidente à 20 ans qu’à 80 ans, quoi qu’on en dise !!! (Si vous ne me croyez pas, regardez-vous dans la glace, vous verrez !!!). Et pas de confusion s’il vous plaît : ce n’est pas moi qui suis méchant et cruel : c’est le temps, c’est la nature, c’est la vie…


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    La Fiancée du pirate – film de Nelly Kaplan – 1969 –

    Acteurs : Bernadette Lafont (Marie), Michel Constantin (André), Julien Guiomar (Le Duc)

    fiancee

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce film déjà ancien (1969 l’année de mon mariage, ça ne me rajeunit pas !) est une sorte de conte moderne, et comme tous les contes il comporte des situations allégoriques et moralisantes… Marie est une Cendrillon, une jeune fille très pauvre, qui arrive un jour dans un village en compagnie de sa mère. Toutes deux sont des nomades, des étrangères… Elles vont être exploitées par les gens du village, une vraie bandes de cons de la France profonde, qui ont accepté de les héberger dans une cabane misérable en pleine forêt, sans eau ni électricité. En échange de ce « don », les deux femmes sont exploitées, et traitées comme des esclaves. Un jour, la mère de Marie est renversée et tuée sur la route par un automobiliste inconnu qui a pris la fuite. Restée seule, Marie est mal vue du village, considérée comme une sorcière, d’ailleurs elle possède un bouc noir, ce n’est pas bon signe ! Pourtant Marie affole par ses charmes juvéniles et ses rondeurs fermes et fraîches les hommes frustrés de ce village de bouseux, où les seules femelles disponibles sont de robustes mémés à tablier à carreaux, de repoussantes matrones, épicières ou fermières sans attrait, aussi sexys qu’une Martine Aubry en nuisette ou une Edith Cresson en porte-jarretelles !... Mais Marie décide de se venger…. Elle fait payer les hommes. La situation s’inverse : c’est désormais Marie la maîtresse, et les hommes du village sont ses esclaves, apportant billets et pièces… Marie devient riche : or contre corps… Et puis Marie fait un jour la connaissance d’André, un projectionniste qui va de village en village projeter des films.  En ce moment, et pour plusieurs mois encore, il projette le film La Fiancée du pirate. Et André, contrairement aux autres, respecte Marie , c’est-à-dire qu’il est plus hypocrite dans son approche, invitant seulement Marie à venir voir le film, un jour… On se doute qu’elle va en tomber amoureuse, car les femmes sont toujours naïves dans ce domaine, sans se douter que le prince apparemment charmant et délicat qu’elles s’imaginent avoir trouvé, moins de cinq ans plus tard empestera la bière et braillera devant la télé, le cul dans le canapé, tout en rotant bruyamment devant un match de foot à la con… !  Revenons au film : Marie, je l’ai dit, décide de se venger. André lui a rapporté de la ville un magnétophone… Marie, maligne comme un singe, va donc enregistrer en micro caché les propos intimes ou graveleux de tous les hommes du village qui viennent la sauter dans la cabane ! Puis elle se rend à l’église du village pendant la messe… et diffuse les messages ! Les turpitudes de chacun éclatent aux oreilles de tous !... Scandale !... Effet garanti ! Furieux, les villageois décident de se débarrasser de Marie. Mais elle a prévu le coup,  et quand les villageois arrivent à la cabane, elle est en flammes, et Marie est partie… Seule sur la route dans sa robe courte et affriolante, elle marche vers la ville, où l’on projette La Fiancée du pirate et va retrouver son Jules, lequel se prénomme André si vous avez bien suivi !… Le film s’achève ainsi, en bluette à l’eau de rose… FIN ! Eh oui, une morale finalement  bien conformiste et bien gnan-gnan. Certains critiques ont dit que Marie, après s’être vengée, marchait vers la liberté… En réalité, elle rejoint André le projectionniste… en sorte qu’elle ne fait que quitter un esclavage pour un autre, même si ce dernier est consenti ! Comme l’a écrit Gilles Ménage en son temps : « Le changement de fers tient lieu de liberté ». Cela dit, ce film en forme de fable, se laisse regarder  sans ennui, en dépit de quelques scènes qui traînent un peu en longueur. Et puis, il nous montre les débuts cinématographiques de Bernadette Lafont, dans le rôle de Marie. Et c’est toujours intéressant, les débuts d’une actrice, car le réalisateur en profite chaque fois pour la montrer toute nue, ce qu’elle ne refuse jamais, afin de ne pas être immédiatement virée et remplacée par une autre, moins prude et moins chichiteuse ! Avis aux féministes enragées qui seraient outrées par mon propos : cette façon de faire - déshabiller une jeune actrice - n’est nullement une exploitation honteuse des femmes, mais seulement la mise en valeur de l’éclat de leur beauté, laquelle est souvent plus éclatante et plus évidente à 20 ans qu’à 80 ans, quoi qu’on en dise !!! (Si vous ne me croyez pas, regardez-vous dans la glace, vous verrez !!!). Et pas de confusion s’il vous plaît : ce n’est pas moi qui suis méchant et cruel : c’est le temps, c’est la nature, c'est la vie…


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    Bravo au Président Flanby !

     

    Se faire traiter de flanby n’est pas forcément un compliment, surtout quand on est devenu président de la République ! En tout cas, François Hollande, que l’on soit pour ou contre lui, vient de montrer qu’il n’a pas la faiblesse tremblotante et mollassonne de ce dessert lacté infantile et calorique… Car il a viré avec un fracas discret l’abominable Martine Aubry, l’épouvantable et insupportable Mère Tape-Dur ! Car, selon la conception du socialisme de cette bonne femme revêche, il lui semble normal de traiter de couille molle un homme de son propre bord qui se trouve être son concurrent à la présidence de la république ! Quelle vulgarité populacière !... On n’ose imaginer de quoi serait capable cette mégère mal apprivoisée, face à un homme d’un parti adverse !!! Et dire qu’elle a critiqué le Casse-toi pauv’con !  de Sarkozy ! C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Le comportement de Martine Aubry, tant vis-à-vis de flanby, que par rapport à ses prétentions personnelles insolentes, c’est la honte du socialisme !  Premier ministre ou rien !!!... On admirera au passage la prétention bouffie de la socialo de comédie, sans humanisme, sans le moindre sens de la démocratie, sans la moindre solidarité vis-à-vis de ceux de son propre camp : le jeu perso au lieu du jeu collectif ! Pas joli joli tout ça ! Premier ministre ou rien ???... Eh bien ce sera rien ! En outre, notre flanby national a voulu la parité, et donc mettre les femmes à l’honneur dans son gouvernement ! Or, le beau visage avenant de la mère tape dur, franchement, est-ce vraiment de nature à valoriser l’image de la femme ?? moi, perso, j’en doute ! Quoi qu’il en soit, on échappe donc à l’insolence vulgaire d’une Aubry sectaire, mal dégrossie, incapable de la moindre diplomatie, incapable même, au siècle de l’image, de s’habiller autrement qu’avec des vieux chiffons ! C’est pas moi qui le dis : vous connaissez sûrement cette blague d’une de nos humoristes : -  Que fait Martine Aubry de ses vieux vêtements ?... Réponse : - elle les porte !... ha ! ha ! ha ! mdr ! lol !!!... Qu’elle continue donc à porter ses fripes sans nous emmerder, c’est tout ce qu’on lui demande. Une femme qui donne d’elle en permanence une image aussi négative n’a rien à faire dans un gouvernement, qu’il soit de gauche ou de droite. Aubry fait la gueule ? Elle reste à Lille, là-bas ?...  Tant mieux ! Bon débarras !... Bravo et merci au président Flanby !


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    Election piège à cons !

    Comment sortir de ce slogan ? Je me suis longtemps posé cette question. Chacun a sa réponse… Pour certains il faut s’abstenir, ne pas voter, rester chez soi… Seulement ce n’est pas citoyen. Ceux qui s’abstiennent, je le dis sans état d’âme, on devrait leur refuser toute aide publique et toute allocation. Il n’y a pas de raison en effet de verser des subsides publics à quelqu’un qui commence par refuser de se prononcer et qui ne participe pas à l’organisation de l’Etat. L’Etat est en effet le résultat de ceux qui votent…. Et celui qui refuse de participer au vote doit également refuser de palper le pognon qui provient du vote des autres… Autre possibilité : voter blanc ou nul. Mais là encore c’est con, puisque ces votes ne sont pas comptabilisés. Ils sont donc perdus, inutiles… Mais alors, comment faire ? Comment choisir entre Sarkozy et Hollande ?... Eh bien j’ai trouvé le moyen de me comporter en citoyen, tout en évitant de choisir entre la peste et le choléra : j’ai voté au hasard ! Dans l’isoloir, j’ai longuement brassé les deux bulletins, et j’en ai finalement mis un dans l’enveloppe, sans regarder. Et donc j’ai voté ! Pour qui ? Je ne sais pas, car j’ai jeté sans le regarder le bulletin inutilisé ! Au fond, ce vote au hasard est le plus cohérent. Il évite en effet que  le vote soit entaché par des considérations personnelles idiotes, telles que la gueule du candidat, la beauté de ses discours, la qualité de tel débat… Car si on y réfléchit bien : à ce niveau de candidature, les deux sont forcément bons, ce ne sont pas des rigolos. Pour le reste, leurs programmes respectifs ne se distinguent que par des broutilles qui n’ont aucune valeur décisive, et tous deux seront prisonniers d’une crise mondiale grave sur laquelle ils n’ont que peu de prise… La France, ce n’est que 66 millions d’habitants sur plus de 7 milliards d'individus dans le monde. Autrement dit nous n’en sommes pas le nombril, quoi qu’on en pense trop souvent… Et donc, je propose de remplacer les élections, à l’avenir, par un tirage au sort parmi des candidats présélectionnés. Ainsi on éviterait les effets de « gueule » et l’influence excessive de l’argent dans le succès final . A méditer…


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  •  Résultat de l'élection présidentielle 2012 : c'est à peu près pareil 

    FRANCOIS HOLLANDE :

    Salle des Fêtes !

    NICOLAS SARKOZY : 

    Sale défaite  !


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