Par Robertcri
Meurtre de deux femmes gendarmes ! Auteur fusillé….
Deux femmes gendarmes viennent d'être assassinées dans le midi de la France, alors qu'elles étaient en mission. Commençons par la seule conclusion qui vaille : le meurtrier devrait, en bonne justice, être jugé rapidement, puis conduit dans un fort militaire et fusillé. J’entends d’ici les rodomontades de certains intellos asociaux, qui vont vouloir me donner des leçons de philosophie et de démocratie, et qui vont me ressortir les arguments sempiternels contre la peine de mort. Qu’ils se rassurent et ne perdent pas leur temps à tenter de me convaincre : je suis de leur avis et suis un adversaire convaincu de la peine de mort dans le droit pénal. Par contre, n’oublions jamais que la peine de mort n’a pas été abolie complètement. Elle existe encore dans le code de justice militaire. Or précisément, les gendarmes sont des militaires. Et lorsqu’ils sont en mission, ils sont des soldats de la République, défenseurs de la Loi et de l’Ordre qui sont les meilleurs garants de la Liberté. En conséquence, celui qui attente à la vie d’un gendarme ne tue pas seulement une personne, il commet un crime contre l'Etat, et doit de ce fait recevoir la peine applicable à ceux qui s’en prennent à la Nation : la peine de mort. Et cela sans haine, sans talion, sans remettre en cause les beaux principes de la philosophie humaniste. Je réclame la peine de mort pour tous les auteurs d’attentats mortels contre l’autorité publique, car ils sont traîtres à la Nation et que leur petite existence individuelle, toute respectable qu’elle soit, vaut beaucoup moins que celle de la République, et vaut infiniment moins que la Liberté, dont les gendarmes sont nos garants au quotidien. Merci la gendarmerie !
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