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Littérature et écriture, dans les thèmes suivants : récits et nouvelles - souvenirs - chroniques - critiques littéraires et cinématographiques - humour - poésie - voyages et balades -

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Il était une fois dans l'ouest - film de 1969 -

 

Il était une fois dans l’ouest – film  Sergio Leone -  1969 –

Acteurs : Charles Bronson (L’Harmonica) – Henry Fonda (Franck) – Claudia cardinale (Jill Mc Bain)–

Musique célébrissime : Ennio Morricone

19478588

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce long film de 2h 45 est un monument du cinéma et du western. Et la meilleure preuve de la qualité de ce film, c’est que les Américains l’ont détesté. Il est difficile de raconter en peu de mots une telle histoire qui renouvelle le genre du western en lui donnant une profondeur et une épaisseur que ce genre n’a pas souvent. Au début du film, nous voyons un père de famille, mr Mc Bain assassiné ainsi que des trois enfants, par une bande de tueurs, dans sa maison de flagstone… En fait les truands voudraient les terres de Mc Bain, car elles contiennent une source d’eau, et que l’eau est un bien précieux, en particulier pour alimenter les locomotives à vapeur, puisque le chemin de faire passe désormais dans la petite ville de Flagstone… Dans le même temps, nous voyons au tout début du film arriver en gare de Flagstone un mystérieux voyageur, l’Harmonica (Charles Bronson)… Trois tueurs envoyés par Frank sont venus l’attendre pour lui régler son compte. Mais l’Harmonica tue les trois crapules… Là-dessus arrive dans la ville la jeune Jill Mc Bain, épouse de l’homme d’affaires, venue le rejoindre… mais elle apprend la mort de son mari et des enfants. Elle prend alors possession des biens et du domaine… dès lors, deux histoires vont se jouer en parallèle : d’un côté les assauts des truands pour s’emparer de la propriété de la jeune veuve, et d’un autre côté et en même temps, l’implacable détermination de l’homme à l’harmonica qui semble poursuivre un mystérieux dessein que l’on découvrira à la fin du film. C’est une bonne chose que de redécouvrir ainsi un grand film ancien, (celui-ci est de 1969 je le répète)  qui n’a rien perdu de ses lettres de noblesse. Grandiose, c’est l’adjectif qui résume le mieux ce western-culte : paysages, personnages, musique… oui, tout est grandiose ! Il était une fois dans l’ouest, à revoir sans modération.

 

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