• La Maison des lumières, par Didier Van Cauwelaert, 2009

    Jérémie a gagné un voyage pour deux à Venise. Il comptait y aller avec son amie Candice, mais celle-ci le vire : "casse-toi pauv'con ! ", comme a dit Nicolas Sarkozy, du temps où il était président de a république française....Jérémie ne se remet pas de cette rupture ! Il y a pourtant des millions de filles dont les organes, en tout comparables à ceux de Candice, feraient l'affaire en matière amoureuse.. mais non, Jérémie veut Candice, ce qui prouve que l'amour n'est pas seulement aveugle mais stupide... or, alors qu'il visite le musée Guggenheim de Venise, Jérémie est fasciné par un tableau de Magritte, fait un malaise et se retrouve happé dans le tableau, dans lequel il revit une scène de cul torride avec Candice !.. De retour à la vie réelle, il n'a de cesse de renouveler l'expérience, avec mille moyens tarabiscotés, et peu vraisemblable.. Le roman patauge beaucoup, on pédale dans un surnaturel laborieux.. En outre l'auteur nous inflige des références picturo-culturo-biographiques sur le peintre René Magritte, tous détails un peu chiants.. Où mèneront ces expérimentations diverses en vue de retrouver Candice ? Où est le rêve, où est le fantasme, où est la réalité ?  Tout cela se mélange dans ce roman, heureusement court, car on ne supporterait pas 500 pages sur l'addiction de Jérémie à l'amour de Candice... Il est vrai que Cauwelaert est familier des histoires où le vrai se mêle au surnaturel... Y en a qui aiment... Moi ça dépend.. Ici, c'est moyen...


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