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    Beyrouth Hôtel – film de Danielle Arbid – 2012 –

    Acteurs : Darine HamzéCharles BerlingFadi Abi Samra

     

    Décidément, il y a vraiment des réalisateurs qui n’ont pas grand-chose à raconter, et qui pourtant décident d’en faire un film ! C’est dommage. Coluche le disait pourtant avec sagesse : Parmi tous les gens qui n’ont rien à dire, les plus sympas sont ceux qui se taisent !... Hélas, la réalisatrice ne se tait pas. Elle nous assomme avec cette banale histoire de cul entre Zoha et Mathieu, qui se rencontrent un soir, à Beyrouth. Elle, une jeune chanteuse libanaise, essaie de s’affranchir de la tutelle pesante de son ex-mari. Lui, un avocat d’affaires français soupçonné d’espionnage, est surveillé par les services spéciaux. Vous avez remarqué leurs professions respectives ? Chanteuse et avocat d’affaire ! Pas femme de ménage dans un bureau et manutentionnaire chez Ikéa ! Pourtant ils coucheraient de la même façon. Sauf qu’ils boiraient du coca, là où les friqués s’enfilent du champagne rosé ! Et donc nos deux partenaires de cinoche vont fricoter pendant quelques jours, ce dont on se fout éperdument…. Oui, c’est Beyrouth, oui le pays vacille en permanence entre la guerre et la paix, et alors ?... C’est pas pour ça que  l’histoire de ces deux zigs est plus intéressante… Il ne se passe rien, on s’ennuie à longueur de plans, avec une seule hâte : sortir du ciné au plus vite  pour en finir avec cette eau de boudin ! Film bavard, inutile et sans le moindre intérêt ! Allez ouste, on zappe !


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    Beyrouth Hôtel – film de Danielle Arbid – 2012 –

    Acteurs : Darine HamzéCharles BerlingFadi Abi Samra

     

    Décidément, il y a vraiment des réalisateurs qui n’ont pas grand-chose à raconter, et qui pourtant décident d’en faire un film ! C’est dommage. Coluche le disait pourtant avec sagesse : Parmi tous les gens qui n’ont rien à dire, les plus sympas sont ceux qui se taisent !... Hélas, la réalisatrice ne se tait pas. Elle nous assomme avec cette banale histoire de cul entre Zoha et Mathieu, qui se rencontrent un soir, à Beyrouth. Elle, une jeune chanteuse libanaise, essaie de s’affranchir de la tutelle pesante de son ex-mari. Lui, un avocat d’affaires français soupçonné d’espionnage, est surveillé par les services spéciaux. Vous avez remarqué leurs professions respectives ? Chanteuse et avocat d’affaire ! Pas femme de ménage dans un bureau et manutentionnaire chez Ikéa ! Pourtant ils coucheraient de la même façon. Sauf qu’ils boiraient du coca, là où les friqués s’enfilent du champagne rosé ! Et donc nos deux partenaires de cinoche vont fricoter pendant quelques jours, ce dont on se fout éperdument…. Oui, c’est Beyrouth, oui le pays vacille en permanence entre la guerre et la paix, et alors ?... C’est pas pour ça que  l’histoire de ces deux zigs est plus intéressante… Il ne se passe rien, on s’ennuie à longueur de plans, avec une seule hâte : sortir du ciné au plus vite  pour en finir avec cette eau de boudin ! Film bavard, inutile et sans le moindre intérêt ! Allez ouste, on zappe !


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    Magic of Belle-Isle – film de Rob Reiner – 2012

    Acteurs : Morgan Freeman, Virginia Madsen, Madeline Carroll…

    Magic of Belle-Isle pourrait avoir comme sous-titre Le Bel été. Film romantique, il nous conte une métamorphose inattendue, celle d’un écrivain vieillissant, auteur de romans, essentiellement des westerns.  Il boit du whisky en grande quantité, et n’a plus d’inspiration littéraire… On se demande si c’est parce qu’il boit qu’il ne parvient plus à écrire, ou s’il s’est mis à boire parce qu’il avait perdu l’inspiration… Quoi qu’il en soit, cet homme désabusé et triste, magistralement incarné par Morgan Freeman, arrive dans une maison pour y passer quelques semaines d’été… Le voici dans une famille, une maman récemment divorcée, avec ses trois filles… Très vite, quelque chose de mystérieux se noue entre l’écrivain finissant et une des filles, qui a neuf ans. La petite fille est espiègle vive, et son esprit curieux et créatif rencontre celui de l’écrivain dans une alchimie étonnante faite d’une profonde complicité pleine de douceur… Dans le même temps, l’écrivain se rapproche sentimentalement de la mère… C’est alors que peu à peu s’opère une lente maturation en son esprit… Entouré et aimé, il sort peu à peu de la solitude où il s’était enfermé, trouvant à la fois une raison de vivre et la force de se libérer de l’alcool… Répétons-le, l’interprétation de Morgan Freeman est superbe de sensibilité et de vérité dans le jeu… Tout au plus, peut-on regretter la trop grande lenteur de ce film, car il se passe peu de choses dans les faits et beaucoup dans les têtes. Or ces évolutions psychologiques et ces mouvements des âmes s’accommodent mieux de la littérature que du cinéma… Je l’ai souvent dit ici et je le répète «cinéma » en grec ancien, ça veut dire mouvement… Et ce film manque précisément de mouvement. Dommage, car il est intelligent et sensible et nous présente une sorte de résurrection, celle du bonheur perdu et retrouvé. Film qui mérite d’être vu, mais qui exige beaucoup de patience et une bonne résistance au sommeil. 


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    Magic of Belle-Isle – film de Rob Reiner – 2012

    Acteurs : Morgan Freeman, Virginia Madsen, Madeline Carroll…

    Magic of Belle-Isle pourrait avoir comme sous-titre Le Bel été. Film romantique, il nous conte une métamorphose inattendue, celle d’un écrivain vieillissant, auteur de romans, essentiellement des westerns.  Il boit du whisky en grande quantité, et n’a plus d’inspiration littéraire… On se demande si c’est parce qu’il boit qu’il ne parvient plus à écrire, ou s’il s’est mis à boire parce qu’il avait perdu l’inspiration… Quoi qu’il en soit, cet homme désabusé et triste, magistralement incarné par Morgan Freeman, arrive dans une maison pour y passer quelques semaines d’été… Le voici dans une famille, une maman récemment divorcée, avec ses trois filles… Très vite, quelque chose de mystérieux se noue entre l’écrivain finissant et une des filles, qui a neuf ans. La petite fille est espiègle vive, et son esprit curieux et créatif rencontre celui de l’écrivain dans une alchimie étonnante faite d’une profonde complicité pleine de douceur… Dans le même temps, l’écrivain se rapproche sentimentalement de la mère… C’est alors que peu à peu s’opère une lente maturation en son esprit… Entouré et aimé, il sort peu à peu de la solitude où il s’était enfermé, trouvant à la fois une raison de vivre et la force de se libérer de l’alcool… Répétons-le, l’interprétation de Morgan Freeman est superbe de sensibilité et de vérité dans le jeu… Tout au plus, peut-on regretter la trop grande lenteur de ce film, car il se passe peu de choses dans les faits et beaucoup dans les têtes. Or ces évolutions psychologiques et ces mouvements des âmes s’accommodent mieux de la littérature que du cinéma… Je l’ai souvent dit ici et je le répète «cinéma » en grec ancien, ça veut dire mouvement… Et ce film manque précisément de mouvement. Dommage, car il est intelligent et sensible et nous présente une sorte de résurrection, celle du bonheur perdu et retrouvé. Film qui mérite d’être vu, mais qui exige beaucoup de patience et une bonne résistance au sommeil. 


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    ECHAP – Film crétin de Christophe Berthemin, honte à lui – 2011 –

    Acteurs : Noémie Alazard VachetAnna Polina

     

    J’ai parfois eu la dent dure avec certains films ; mais ce n’est rien à côté de cette merde filmée, d’une nullité rarement atteinte ! On devrait créer un Festival des Films Ratés ! Echap serait en bonne position pour la palme ! Voici un bout de l’histoire : Cinq copines se réveillent après une nuit de beuverie en boîte pour enterrer la vie de jeune fille d’une des leurs. Et faut voir le genre de meufs ! C’est à gerber déjà, de regarder ces cinq pouffiasses, d’une rare vulgarité ; elles sont moches, ordinaires, cheveux gras, des corps flasques, des nibards mollassons qui évoquent des blocs de gélatine sur une plateforme d’autobus, ou de la tête de veau dans une assiette tenue par un parkinsonien ! Franchement dégueulasse… Quant à leurs tronches, on devine immédiatement qu’elles n’ont jamais envisagé d’aller plus loin que la scolarité obligatoire… Elles se réveillent donc la gueule pâteuse, pas fraîches et peu ragoutantes, l’horreur absolue ! Là-dessus, elles se lancent dans une sorte de jeu, interminable de longueur, entre le spiritisme, le scrabble et un jeu en ligne, dont la touche echap ne leur permet pas de sortir facilement… Au cours du jeu, voici que se pointe un ancien pote décédé, c’est donc un revenant !... Moi, j'en suis pas revenu ! On se fait chier comme ce n’est pas possible, de la première à la dernière image. Christophe Berthemin n’est pas un réalisateur, c’est un nullard égaré dans le cinéma. Et comme il ne se prend pas pour une merde, et se croit évidemment intelligent, il donne plein d’avis sur toutes sortes de sujets, surtout sur ceux qu’il ne maîtrise pas ! Echappez-vous du film Echap ! C’est pitoyable, un cinéma comme ça ! C’est même pas un brouillon… Et dire que c’est en partie avec notre pognon qu’on tourne de pareilles conneries ! Eh oui, la fameuse « exception culturelle française » qui permet de financer des réalisateurs qui fabriquent des torchons, ou des films où ils font de la pub pour la clope à longueur de scènes en dépit des lois anti-tabac ! Et en se foutant bien d'intoxiquer les jeunes d'aujourd'hui qui sont les cancéreux de demain ! Ce sont les même que l'on voit, la gueule enfarinée, dans des manifs de rue où ils jouent les humanistes pour défendre les mal- logés ou les sans-papiers... Des humanistes qui tuent les jeunes à coup de pub pour les clopes dans les films, de plus en plus souvent,  dès la bande annonce... ah les salauds !


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